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Flashcards in pharmacodépendance et pharmacovigilance Deck (120)
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1
Q

31) A propos de la déclaration de pharmacovigilance :

A. La déclaration des effets indésirables médicamenteux est obligatoire quel que soit leur niveau de gravité.

A

vrai

2
Q

31) A propos de la déclaration de pharmacovigilance :

B. La déclaration des effets indésirables médicamenteux permet d’identifier de nouveaux risques et de modifier l’utilisation des médicaments.

A

vrai

3
Q

31) A propos de la déclaration de pharmacovigilance :

C. L’infirmier doit déclarer tout effet indésirable médicamenteux grave ou inattendu qu’il ait ou non administré le médicament.

A

faux

4
Q

31) A propos de la déclaration de pharmacovigilance :

D. La déclaration des effets indésirables médicamenteux peut être réalisée par les patients eux-mêmes.

A

vrai

5
Q

32) A propos de l’imputabilité :
A. La recherche d’imputabilité a pour objectif d’évaluer le degré de causalité entre l’événement constaté et la prise du médicament au niveau de l’individu.

A

vrai

6
Q

32) A propos de l’imputabilité :

B. L’imputabilité repose sur des critères chronologiques, séméiologiques et bibliographiques.

A

vrai

7
Q

32) A propos de l’imputabilité :

C. L’imputabilité intrinsèque repose sur le profil d’effets indésirables intrinsèques au médicament.

A

vrai

8
Q

32) A propos de l’imputabilité :

D. L’imputabilité extrinsèque repose sur la recherche des facteurs extrinsèques au médicament ayant pu conduire à la survenue de l’événement indésirable.

A

faux

9
Q

33) A propos des essais cliniques :

A. Les études de phase I correspondent en réalité aux études précliniques chez l’animal.

A

faux

10
Q

33) A propos des essais cliniques :

B. Les études de phase II sont réalisées sur un petit nombre de patients hospitalisés.

A

vrai

11
Q

33) A propos des essais cliniques :

C. Les études de phase III sont des études comparatives d’efficacité du médicament étudié versus une molécule de référence déjà commercialisée, mais pas un placebo.

A

faux

12
Q

33) A propos des essais cliniques :

D. Les études de phase IV se déroulent tout au long de la vie du médicament après sa commercialisation.

A

vrai

13
Q

36) A propos de la Pharmacovigilance :
A. Un effet indésirable est notifié uniquement si le lien de causalité avec le médicament est certain.
.

A

faux

14
Q

36) A propos de la Pharmacovigilance :

B. La méthode d’imputation est basée sur des critères chronologiques, séméiologiques et bibliographiques.

A

vrai

15
Q

36) A propos de la Pharmacovigilance :

C. L’imputabilité apprécie le degré de causalité induit entre un évènement constaté et un médicament.

A

vrai

16
Q

36) A propos de la Pharmacovigilance :

D. L’évolution de la réaction à l’arrêt du médicament est un des critères séméiologiques.

A

faux

17
Q

37) A propos de la Pharmacovigilance :

A. Un pharmacien doit déclarer uniquement les effets indésirables non évitables.

A

faux

18
Q

37) A propos de la Pharmacovigilance :

B. Une proposition de retrait d’un médicament est basée sur sa balance bénéfice/risque.

A

vrai

19
Q

37) A propos de la Pharmacovigilance :

C. Un médecin n’est pas tenu de déclarer un effet indésirable déjà décrit dans le RCP.

A

vrai

20
Q

37) A propos de la Pharmacovigilance :

D. Un effet indésirable potentiellement lié au recours à une seringue doit être déclaré en pharmacovigilance.

A

vrai

21
Q

38) A propos des essais cliniques :

A. Ils étudient la balance bénéfice/risque d’un médicament avant et après sa mise sur le marché.

A

vrai

22
Q

38) A propos des essais cliniques :

B. Les essais de phase 3 se pratiquent sur un petit groupe de sujets sains.

A

faux

23
Q

38) A propos des essais cliniques :

C. Les études comparatives “médicament versus placebo” sont effectuées en phase 1.

A

faux

24
Q

38) A propos des essais cliniques :

D. Une fois l’autorisation de mise sur le marché obtenue, la phase 4 dure 30 ans.

A

faux

25
Q

39) A propos du retrait d’un médicament :
A. Un médicament peut être retiré du marché si les risques encourus sont plus importants que les bénéfices thérapeutiques.

A

vrai

26
Q

39) A propos du retrait d’un médicament :

B. Le laboratoire décide seul s’il doit maintenir ou retirer le médicament qu’il commercialise.

A

faux

27
Q

39) A propos du retrait d’un médicament :

C. Le retrait d’un médicament du marché peut être définitif ou provisoire.

A

vrai

28
Q

39) A propos du retrait d’un médicament :

D. Une fois l’alerte donnée le retrait d’un médicament peut être un processus rapide à l’échelle d’une journée.

A

vrai

29
Q

31) A propos des effets indésirables graves d’un médicament :
A. Ils sont considérés graves lorsqu’ils entraînent systématiquement la mort d’un patient.

A

faux

30
Q

31) A propos des effets indésirables graves d’un médicament :

B. Ils peuvent être notifiés même si le lien avec un médicament n’est pas certain.
.

A

vrai

31
Q

31) A propos des effets indésirables graves d’un médicament :

C. Un médecin ne doit déclarer que les effets indésirables liés aux médicaments qu’il a prescrits.

A

faux

32
Q

31) A propos des effets indésirables graves d’un médicament :

D. Comme le pharmacien, l’infirmière a l’obligation de déclarer un effet indésirable grave.

A

faux

33
Q

32) A propos de la Pharmacovigilance :

A. Les effets indésirables mineurs et modérés ne nécessitent pas de traitement.

A

faux

34
Q

32) A propos de la Pharmacovigilance :

B. L’imputabilité apprécie le degré de causalité entre un effet indésirable et un médicament.

A

vrai

35
Q

32) A propos de la Pharmacovigilance :

C. Les études précliniques évaluent les risques d’un médicament chez des volontaires sains.

A

faux

36
Q

32) A propos de la Pharmacovigilance :

D. Les essais cliniques de phase 4 affinent le rapport bénéfice-risque d’un médicament.

A

vrai

37
Q

31) A propos des études cliniques :

A. Elles visent à déterminer l’efficacité et la tolérance du médicament avant sa mise sur le marché.

A

vrai

38
Q

31) A propos des études cliniques :

B. La phase I permet d’évaluer la pharmacocinétique du médicament.

A

vrai

39
Q

31) A propos des études cliniques :

C. La phase II permet de définir la dose thérapeutique optimale du médicament.

A

vrai

40
Q

31) A propos des études cliniques :

D. Une fois l’autorisation de mise sur le marché obtenue, la phase IV dure jusqu’à la fin de la vie du médicament.

A

vrai

41
Q

32) A propos de la méthode d’imputation :

A. Elle permet d’estimer l’importance du risque induit par un médicament à l’échelle d’une population.

A

faux

42
Q

32) A propos de la méthode d’imputation :

B. Elle est effectuée séparément pour chaque médicament pris par un patient.

A

vrai

43
Q

32) A propos de la méthode d’imputation :

C. Elle est basée sur des critères chronologiques, séméiologiques et bibliographiques.

A

vrai

44
Q

32) A propos de la méthode d’imputation :

D. La réadministration d’un médicament a une valeur diagnostique très forte.

A

vrai

45
Q
  1. Concernant les notifications spontanées en pharmacovigilance :
    A. Seuls les effets indésirables graves ou inattendus dont le lien de causalité avec le médicament est certain doivent être déclarés.
A

faux

46
Q
  1. Concernant les notifications spontanées en pharmacovigilance :

B. Les médecins ou pharmaciens doivent effectuer les notifications exclusivement auprès du directeur de i’ANSM.

A

faux

47
Q
  1. Concernant les notifications spontanées en pharmacovigilance :

C. Les laboratoires pharmaceutiques doivent envoyer des rapports périodiques de pharmacovigilance.

A

vrai

48
Q
  1. Concernant les notifications spontanées en pharmacovigilance :

D. Les notifications permettent d’étudier le lien entre un médicament et la survenue d’un effet indésirable grâce à la méthode d’imputation.

A

vrai

49
Q
  1. Concernant les études précliniques et cliniques :

A. Les études précliniques sont réalisées afin d’éliminer une dangerosité pour l’homme.

A

vrai

50
Q
  1. Concernant les études précliniques et cliniques :

B. Avant la commercialisation d’un médicament, les essais cliniques comportent quatre phases.

A

faux

51
Q
  1. Concernant les études précliniques et cliniques :

C. Les études de phase 1 sont réalisées avec de petits groupes de patients.

A

faux

52
Q
  1. Concernant les études précliniques et cliniques :

D. L’autorisation de mise sur le marché est délivrée après les études de phase 4.

A

faux

53
Q

. Concernant les notifications spontanées des effets indésirables graves :
A. Elle ne s’applique qu’aux médicaments distribués en pharmacie avec ordonnance.

A

faux

54
Q

. Concernant les notifications spontanées des effets indésirables graves :

B. La déclaration des effets indésirables graves ou inattendus est obligatoire et sans délai.

A

faux

55
Q

. Concernant les notifications spontanées des effets indésirables graves :

C. Tout prescripteur doit effectuer la déclaration, qu’il ait ou non prescrit le médicament en cause.

A

vrai

56
Q

. Concernant les notifications spontanées des effets indésirables graves :

D. Le professionnel de santé doit informer le patient de la déclaration qu’il a adressée.

A

vrai

57
Q

Concernant la méthode d’imputation :
A. Elle est basée sur l’évaluation des imputabilités intrinsèques et extrinsèque.
.

A

vrai

58
Q

Concernant la méthode d’imputation :

B. L’imputabilité intrinsèque utilise des critères bibliographiques.

A

faux

59
Q

Concernant la méthode d’imputation :

C. La ré-administration est un critère séméiologique de grande valeur diagnostique.

A

faux

60
Q

Concernant la méthode d’imputation :

D. Le rôle de chaque médicament pris par un patient est évalué séparément.

A

vrai

61
Q

34) A propos de la pharmacodépendance :

A. La pharmacodépendance concerne uniquement les substances ayant un effet psychoactif.

A

faux

62
Q

34) A propos de la pharmacodépendance :

B. La dépendance physique conduit à un état de manque en cas de privation de la substance.

A

faux

63
Q

34) A propos de la pharmacodépendance :

C. La dépendance psychique est le plus puissant des facteurs de dépendance.

A

vrai

64
Q

34) A propos de la pharmacodépendance :

D. Le syndrome de sevrage conduit à l’exacerbation des symptômes préexistants.

A

faux

65
Q

35) A propos de l’addiction :

A. La nature du produit ou de l’acte suffit à définir un comportement addictif.

A

faux

66
Q

35) A propos de l’addiction :

B. L’addiction peut se définir comme l’impossibilité de contrôler un comportement et la poursuite de celui-ci en dépit de ces conséquences négatives.

A

vrai

67
Q

35) A propos de l’addiction :

C. Les dérivés amphétaminiques conduisent à une forte dépendance psychique et physique.

A

faux

68
Q

35) A propos de l’addiction :

D. L’addiction à une substance ne survient pas chez toutes les personnes consommant cette substance.

A

vrai

69
Q

40) A propos de la Pharmacodépendance :

A. La tolérance nécessite de baisser les doses pour retrouver l’effet initial.

A

faux

70
Q

40) A propos de la Pharmacodépendance :

B. Les médecins et les pharmaciens ont, seuls, l’obligation de déclarer les cas d’abus et de dépendance.

A

faux

71
Q

40) A propos de la Pharmacodépendance :

C. La prévention secondaire correspond aux mesures de réinsertion socio-professionnelle et de prévention des rechutes.

A

faux

72
Q

40) A propos de la Pharmacodépendance :

D. Le syndrome de sevrage est caractérisé par l’exacerbation de symptômes préexistant.

A

faux

73
Q

33) A Propos de la dépendance à un médicament ou à une drogue :
A. Il existe une dépendance et une tolérance croisées entre benzodiazépines et alcool.

A

vrai

74
Q

33) A Propos de la dépendance à un médicament ou à une drogue :

B. Le phénomène de tolérance disparait après une période d’abstinence.

A

vrai

75
Q

33) A Propos de la dépendance à un médicament ou à une drogue :

C. La dépendance physique existe avec tous les médicaments ou produits psychoactifs.

A

faux

76
Q

33) A Propos de la dépendance à un médicament ou à une drogue :

D. Une sage-femme a l’obligation de déclarer les cas d’abus graves aux médicaments psychoactifs.

A

vrai

77
Q

34) A propos du cannabis :

A. L’Amérique du Sud est le premier producteur mondial de cannabis.

A

faux

78
Q

34) A propos du cannabis :

B. La consommation mondiale d’héroïne est supérieure à celle de cannabis.

A

faux

79
Q

34) A propos du cannabis :

C. Fumer du cannabis peut générer des troubles cognitifs et psychiatriques.

A

vrai

80
Q

34) A propos du cannabis :

D. Fumer du cannabis est un facteur de risque de cancer.

A

vrai

81
Q

35) A propos des drogues :

A. Les opiacés génèrent exclusivement une dépendance physique.

A

faux

82
Q

35) A propos des drogues :

B. Les traitements de substitution ont une pharmacocinétique identique à celle du produit substitué.

A

faux

83
Q

35) A propos des drogues :

C. La cocaïne est un dérivé morphinique psychostimulant.

A

faux

84
Q

35) A propos des drogues :

D. La cocaïne est un métabolite de la codéine.

A

faux

85
Q

33) Concernant la pharmacodépendance :

A. La dépendance physique est le plus grand facteur de dépendance.

A

faux

86
Q

33) Concernant la pharmacodépendance :

B. La dépendance physique est l’apanage de tous les médicaments psychotropes et autres produits psychoactifs.

A

faux

87
Q

33) Concernant la pharmacodépendance :

C. La tolérance nécessite de baisser les doses pour retrouver l’effet initial.

A

faux

88
Q

33) Concernant la pharmacodépendance :

D. Une benzodiazépine prise chroniquement peut être arrêtée brutalement.

A

faux

89
Q

34) A propos de la pharmacodépendance :

A. Le mésusage d’un médicament correspond à son utilisation non conforme aux conditions recommandées.

A

vrai

90
Q

34) A propos de la pharmacodépendance :

B. Un début précoce dans la consommation d’une drogue est un facteur de gravité.

A

vrai

91
Q

34) A propos de la pharmacodépendance :

C. La prévention secondaire vise à éviter le premier contact avec les substances addictogènes par l’information.

A

faux

92
Q

34) A propos de la pharmacodépendance :

D. Un traitement de substitution ne permet pas de supprimer l’état de manque.

A

faux

93
Q

35) A propos des opiacés :

A. Ils entraînent une forte dépendance psychique sans dépendance physique.

A

faux

94
Q

35) A propos des opiacés :

B. L’effet euphorisant est plus intense par voie veineuse que par voie nasale.

A

vrai

95
Q

35) A propos des opiacés :

C. Au sevrage, l’héroïne n’entraine pas de signes physiques.

A

faux

96
Q

35) A propos des opiacés :

D. L’héroïne est la première drogue la plus consommée au monde.

A

faux

97
Q
  1. Concernant la tolérance:

A. Elle résulte d’une adaptation de l’organisme vis-à-vis d’un produit consommé de manière répétée.

A

vrai

98
Q
  1. Concernant la tolérance:

B. Elle nécessite de réduire les doses pour retrouver l’effet initial.

A

faux

99
Q
  1. Concernant la tolérance:

C. Elle peut être croisée avec des molécules de la même famille.

A

vrai

100
Q
  1. Concernant la tolérance:

D. Elle persiste même après une longue période de sevrage du produit à l’origine de la tolérance.

A

faux

101
Q
  1. Concernant les cas d’abus et de dépendance aux produits psychoactifs :
    A. Leur notification est obligatoire et se fait au CEIP de la région dont dépend le professionnel de santé.
A

vrai

102
Q
  1. Concernant les cas d’abus et de dépendance aux produits psychoactifs :

B. La notification des abus de médicaments non psychoactifs se fait auprès des CRPV.

A

vrai

103
Q
  1. Concernant les cas d’abus et de dépendance aux produits psychoactifs :

C. Seuls les médecins et les pharmaciens ont l’obligation de déclaration de ces cas.

A

faux

104
Q
  1. Concernant les cas d’abus et de dépendance aux produits psychoactifs :

D. Les chirurgiens-dentistes et les sages-femmes peuvent également faire une déclaration mais sans obligation ni délai imposé.

A

faux

105
Q
  1. Concernant les comportements de transgression :

A. Le mésusage d’un médicament correspond à une utilisation non conforme aux conditions d’utilisations recommandées.

A

vrai

106
Q
  1. Concernant les comportements de transgression :

B. L’analyse des ordonnances suspectes permet d’identifier les médicaments détournés.

A

vrai

107
Q
  1. Concernant les comportements de transgression :

C. Les ordonnances sécurisées n’ont aucun intérêt face au problème des ordonnances falsifiées.

A

faux

108
Q
  1. Concernant les comportements de transgression :

D. Les médicaments psychotropes peuvent être utilisés à des fins de soumission chimique.

A

vrai

109
Q

. Concernant la dépendance aux produits :

A. La dépendance physique est le plus puissant des facteurs de dépendance.

A

faux

110
Q

. Concernant la dépendance aux produits :

B. Le craving correspond à un besoin impérieux du produit.
.

A

vrai

111
Q

. Concernant la dépendance aux produits :

C. La dépendance physique survient avec tous les médicaments.

A

faux

112
Q

. Concernant la dépendance aux produits :

D. La dépendance physique est liée à une adaptation de l’organisme vis-à-vis du produit.

A

vrai

113
Q

Concernant l’addiction à un produit psychoactif :

A. Elle résulte d’une interaction entre un individu, un produit et son environnement.

A

vrai

114
Q

Concernant l’addiction à un produit psychoactif :

B. Son évaluation clinique à l’aide de scores permet d’en apprécier la sévérité.

A

vrai

115
Q

Concernant l’addiction à un produit psychoactif :

C. Un début précoce et une polyconsommation sont des facteurs de gravité.

A

vrai

116
Q

Concernant l’addiction à un produit psychoactif :

D. L’addictovigilance contribue à classer le potentiel addictif des nouveaux produits.

A

vrai

117
Q

Concernant la prise en charge de la pharmacodépendance :

A. Il entraine un phénomène de rebond appelé syndrome de sevrage.

A

faux

118
Q

Concernant la prise en charge de la pharmacodépendance :

B. L’administration d’un antagoniste du médicament peut induire des signes de sevrage.

A

vrai

119
Q

Concernant la prise en charge de la pharmacodépendance :

C. La ré-administration du médicament ou l’administration d’une molécule proche du médicament soulage les symptômes.

A

vrai

120
Q

Concernant la prise en charge de la pharmacodépendance :

D. Un traitement long par benzodiazépine peut être rapidement arrêté en quelques jours.

A

faux