Examen septembre 2017 Flashcards Preview

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Flashcards in Examen septembre 2017 Deck (20)
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1
Q

Q1. L’empan d’une mémoire correspond

1) à la durée de rétention de l’information
2) au nombre d’items pouvant être retenus
3) à la capacité d’oubli
4) aucun des trois

A

2) au nombre d’items pouvant être retenus

2
Q

Q2. Selon le modèle de Sperling (1967), la mémoire sensorielle est composée

1) de deux registres : visuel et auditif
2) d’un seul registre : visuel
3) d’un seul registre : auditif
4) de plus de deux registres

A

1) de deux registres : visuel et auditif

3
Q

Q3. Le codage préférentiel pour les lettres et / ou mots en mémoire à court terme est

1) le codage visuel
2) le double codage visuel / acoustique
3) le codage sémantique
4) le codage acoustique

A

4) le codage acoustique

4
Q

Q4. La mémoire à court terme se caractérise par

1) une capacité limitée
2) une capacité limitée, une labilité importante, et des mécanismes de récupération spécifiques
3) une labilité importante
4) des mécanismes de récupération spécifiques

A

2) une capacité limitée, une labilité importante, et des mécanismes de récupération spécifiques

5
Q

Q5. Par rapport à la mémoire à court terme, la mémoire de travail se focalise sur

1) le rôle structurel de la mémoire
2) le rôle visuel de la mémoire
3) le rôle fonctionnel de la mémoire
4) le rôle automatique de la mémoire

A

3) le rôle fonctionnel de la mémoire

6
Q

Q6. Dans le modèle de Baddeley (1996), les items langagiers (verbaux dans le cours) présentés

1) sont encodés verbalement et transmise à la boucle phonologique
2) sont encodés visuellement et transmis au calepin visuo-spatial
3) sont traités par l’administrateur central puis transmis à la boucle phonologique
4) sont traités par l’administrateur central puis stockés en mémoire à long terme

A

1) sont encodés verbalement et transmise à la boucle phonologique

7
Q

Q7. Dans le modèle de Baddeley (1996), l’administrateur central est lié

1) à la modalité visuelle
2) à la modalité auditive
3) à la mémoire à long terme
4) à aucune modalité particulière

A

4) à aucune modalité particulière

8
Q

Q8. Dans le modèle SPI de la mémoire de Tulving (1995), l’encodage des informations se fait de manière

1) parallèle
2) indépendante
3) sérielle, parallèle et indépendante
4) sérielle

A

4) sérielle

9
Q

Q9. Lors de l’étude de la mémoire à court terme, on appelle « chunks »

1) des découpages de l’information pour en faciliter la mémorisation
2) des regroupements de l’information pour en faciliter la mémorisation
3) des éliminations de l’information pour en faciliter la mémorisation
4) toutes les réponses sont correctes

A

2) des regroupements de l’information pour en faciliter la mémorisation

10
Q

Q10. Les cartes mentales sont un type de représentations

1) propositionnelles
2) liées à l’action
3) imagées
4) externes

A

3) imagées

11
Q

Q11. Le modèle du focus attentionnel (Cowan, 1988) défend

1) une approche pluraliste de la mémoire
2) une approche fonctionnelle de la mémoire
3) une approche moniste de la mémoire
4) une approche structurelle de la mémoire

A

3) une approche moniste de la mémoire

12
Q

Q12. La mémoire déclarative correspond

1) aux connaissances que nous sommes capables de rappeler verbalement
2) aux connaissances liées à l’action
3) aux connaissances implicites
4) aux connaissances inconscientes

A

1) aux connaissances que nous sommes capables de rappeler verbalement

13
Q

Q13. L’apprentissage d’un savoir-faire est meilleur

1) s’il est condensé dans le temps en courtes séances
2) s’il est réparti dans le temps en courtes séances
3) s’il est réparti dans le temps en longues séances
4) s’il est condensé dans le temps en longues séances

A

2) s’il est réparti dans le temps en courtes séances

14
Q

Q14. Les informations contextuelles sont

1) des indices de récupération puissants
2) des indices de stockage puissants
3) des indices d’encodage puissants
4) des indices inutiles

A

1) des indices de récupération puissants

15
Q

Q15. L’accès à l’information en mémoire à long terme se fait

1) de manière sérielle
2) de manière analogique
3) de manière métaphorique
4) de manière parallèle

A

4) de manière parallèle

16
Q

Q16. Les représentations stabilisées sont stockées

1) en mémoire à court terme
2) en mémoire sensorielle
3) en mémoire à long terme
4) en mémoire de travail

A

3) en mémoire à long terme

17
Q

Q17. Le codage imagé mobilise

1) la boucle phonologique en mémoire de travail
2) le registre (dans le cours calepin) visuo-spatial en mémoire de travail
3) la mémoire sémantique
4) la mémoire épisodique

A

2) le registre (dans le cours calepin) visuo-spatial en mémoire de travail

18
Q

Q18. Les modèles situationnels permettent de se représenter

1) des relations causales
2) des relations fonctionnelles
3) des relations spatiales
4) des relations sémantiques

A

1) des relations causales
3) des relations spatiales
Les 2 sont notés dans le cours.

19
Q

Q19. L’organisation des concepts peut se représenter sous la forme

1) d’un réseau sémantique
2) d’un système cognitif à deux modalités : visuelle et auditive
3) d’un système cognitif de raisonnement

A

1) d’un réseau sémantique

20
Q

Q20. Dans le modèle de comparaison des traits (Rips, Shoben & Smith, 1973), les propriétés caractéristiques sont

1) inévitables pour décider de l’appartenance d’une entité à une catégorie
2) les propriétés liées à l’essence d’un objet
3) le propre d’un prototype
4) des propriétés fréquentes mais non obligatoires pour les membres d’une catégorie

A

4) des propriétés fréquentes mais non obligatoires pour les membres d’une catégorie