Examen juin 2016 Flashcards Preview

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Flashcards in Examen juin 2016 Deck (20)
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1
Q
  1. Quelle est la fausse caractéristique de la MCT :
    a. capacité limitée de traitement
    b. traitement séquentiel
    c. conservation pendant quelques minutes
    d. traitement en parallèle
A

d. traitement en parallèle

2
Q
  1. Le fonctionnement de la mémoire sensorielle est semblable
    a. à une succession d’images arrêtées
    b. à un film en continu
    c. à celui de la mémoire à long terme
    d. à une boite à musique
A

a. à une succession d’images arrêtées

3
Q
3. Quelle est l’affirmation juste ?
La mémoire à long terme 
a.	est un phénomène passif
b.	est une copie des entrées perceptives 
c.	est une sélection des informations 
d.	est une copie des situations réelles
A

c. est une sélection des informations

4
Q
  1. Lors de l’étude de la mémoire à court terme, on appelle « chunks »
    a. des découpages pour en faciliter la mémorisation
    b. des regroupements pour en faciliter la mémorisation
    c. des éliminations pour en faciliter la mémorisation
    d. toutes les réponses sont justes
A

b. des regroupements pour en faciliter la mémorisation

5
Q
  1. La capacité de la Mémoire à Court Terme
    a. est fixe
    b. est liée à la vitesse de présentation des items
    c. est liée à la vitesse à laquelle les items sont identifiés
    d. est liée au sexe
A

c. est liée à la vitesse à laquelle les items sont identifiés

6
Q
  1. La notion de mémoire à court terme a été remplacée par la notion de
    a. registres sensoriels
    b. mémoire de travail
    c. mémoire phonologique
    d. d’accès sériel
A

b. mémoire de travail

7
Q
  1. L’effet de similitude phonologique correspond
    a. au codage phonologique lors de la présentation d’un mot écrit
    b. au codage phonologique lors de la présentation d’un mot oralement
    c. à une meilleure performance quand les items à rappeler ont des ressemblances dans la prononciation
    d. à une moins bonne performance lorsque les items à rappeler ont des ressemblances dans la prononciation
A

d. à une moins bonne performance lorsque les items à rappeler ont des ressemblances dans la prononciation

8
Q
  1. Que signifie « interférence » lors de l’étude de la mémoire ?
    a. Des sons qui apparaissent
    b. Des visions qui apparaissent
    c. L’influence de la mémoire à long terme sur la mémoire à court terme
    d. L’influence d’un apprentissage sur un autre apprentissage
A

d. L’influence d’un apprentissage sur un autre apprentissage

9
Q
  1. Que signifie une interférence proactive ?
    a. Un second apprentissage vient perturber un 1er apprentissage cible
    b. Un 1er apprentissage vient perturber un second apprentissage cible
    c. Un second apprentissage vient faciliter un 1er apprentissage cible
    d. Un 1er apprentissage vient faciliter un second apprentissage cible
A

b. Un 1er apprentissage vient perturber un second apprentissage cible

10
Q
  1. La notion de représentations transitoires est liée à
    a. la mémoire de travail
    b. la mémoire sémantique
    c. la stratégie d’exploration
    d. la performance
A

a. la mémoire de travail

11
Q
  1. On appelle également les représentations transitoires
    a. des structures aménagées
    b. des croyances
    c. des structures circonstancielles
    d. des traces résultantes
A

c. des structures circonstancielles

12
Q
  1. Les représentations imagées peuvent être appréhendées
    a. Schématiquement contrairement aux représentations verbales
    b. Globalement contrairement aux représentations verbales
    c. Dans un ordre bien précis
    d. Dans un ordre aléatoire
A

b. Globalement contrairement aux représentations verbales

13
Q
  1. Selon l’expérience de Shepard et Metzler (1971), lors de jugement de deux images d’objets en 3D (3 dimensions), on demande aux sujets de dire si ces deux images correspondent au même objet. Les temps de réponse varient en fonction de l’angle de rotation ; on peut dire que
    a. les temps de réponse se situent, en moyenne, autour de 500 msec.
    b. quel que soit l’angle de rotation, il y a peu de variation dans les temps de réponse
    c. plus l’angle de rotation est grand, plus le temps de réponse diminue
    d. plus l’angle de rotation est grand, plus le temps de réponse augmente
A

d. plus l’angle de rotation est grand, plus le temps de réponse augmente

14
Q
  1. Les représentations propositionnelles interviennent dans l’élaboration
    a. de nos actions
    b. de la représentation de nos actions
    c. d’un texte
    d. de la représentation d’un texte
A

d. de la représentation d’un texte

15
Q
  1. Dans la phrase « Le pull est gris »
    a. Le prédicat est GRIS
    b. Le prédicat est PULL
    c. Le prédicat est ETRE
    d. Il n’y a pas de prédicat
A

a. Le prédicat est GRIS

16
Q
  1. Dans la structure prédicative suivant : JOUER (Jeanne, Pauline), quelle est la bonne correspondance :
    a. C’est Pauline qui joue avec Jeanne
    b. C’est Jeanne qui joue avec Pauline
    c. Jeanne et Pauline jouent
A

b. C’est Jeanne qui joue avec Pauline

17
Q
  1. Selon le modèle de Kintsch et Van Dijk (1978), la macrostructure d’un texte
    a. correspond à la conservation de toutes les propositions du texte
    b. correspond à l’élaboration par le sujet d’un résumé du texte
    c. correspond à la conservation des propositions importantes du texte
    d. toutes les propositions sont vraies
A

b. correspond à l’élaboration par le sujet d’un résumé du texte

18
Q
  1. Selon le modèle de Van Dijk et Kintsch (1983), le modèle de situation fait appel
    a. uniquement à des représentations propositionnelles
    b. seulement à des représentations imagées
    c. à la fois à des représentations propositionnelles et à des représentations imagées
    d. à la macrostructure du texte
A

c. à la fois à des représentations propositionnelles et à des représentations imagées

19
Q
  1. Selon la logique aristotélicienne, la notion de concept se définit par son intension qui correspond à
    a. l’ensemble des objets composant cette catégorie
    b. l’ensemble des individus composant cette catégorie
    c. l’ensemble des propriétés définissant la catégorie
    d. à l’intention par le sujet de définir cette catégorie
A

c. l’ensemble des propriétés définissant la catégorie

20
Q
  1. Selon la notion de prototype de Rosch (1973), un exemplaire est typique s’il
    a. partage aucune propriété avec sa catégorie
    b. partage une seule propriété avec sa catégorie
    c. partage peu de propriétés avec sa catégorie
    d. partage beaucoup de propriétés avec sa catégorie
A

d. partage beaucoup de propriétés avec sa catégorie