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Flashcards in Examen 2 Deck (165)
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1
Q

Importance de la température?

A
  • La température joue un rôle important dans la formation du sol et de la croissance végétale
  • Chaque plante a d’ailleurs ses exigences de température
2
Q

Chaleur spécifique?

A
  • La chaleur spécifique est la quantité de chaleur qu’il est nécessaire de fournir à 1g d’un corps pour élever sa température de 1 degré celsius
3
Q

Conductivité thermique?

A
  • Capacité d’un matériel à transmettre la chaleur
4
Q

Surface spécifique?

A
  • C’est l’ensemble des surfaces disponibles pour des réactions (chimiques, physiques, biologiques) dans un volume donné (ou une masse donnée) de sol
5
Q

MVA?

A
  • Rapport entre la masse séche de solide et le volume total de l’échantillon
  • Masse volumique apparente
    (gros cube subdiviser en air/liquide/solide)
    p=(M sol sec/V total)
6
Q

MVR?

A
  • Rapport entre la masse sèche des solides et le volume réel des solides
  • Masse volumique réelle
    (gros cube sans subdivision air/liquide/solide)
    p=(M sol sec/V solides)
  • Sol minéral 2,65g/cm3
7
Q

Porosité totale?

A
  • C’est le rapport entre le volume du sol occupé par la somme de la phase liquide et la phase gazeuse sur le volume total du sol
  • n = (Vl+Va)/Vt
8
Q

Porosité effective?

A
  • Portion de la porosité totale qui contient de l’air

- ne=n-θ

9
Q

Compactage?

A
  • Tassement vertical du sol suite à l’application d’une force en surface (pluie, irrigation, piétinement, machinerie agricole)
  • Le tassement résulte en déformation irréversible et la rupture et réarrangement de microagrégats.
10
Q

DMP?

A
  • Diamètre moyen pondéré
  • Permet de comparer l’effet de différents traitements sur la stabilité des agrégats d’un sol
  • Submerger un ensemble de tamis contenant du sol, agiter, sécher, peser et calculer la proportion d’agrégat stable à l’eau dans chaque fractions
  • Plus le DMP est grand plus c’est stable
11
Q

Compacité?

A
  • Rapport entre le volume des solides sur le volume total

- Symbole C

12
Q

Éléments de la porosité total?

A
  • Macroporosité

- Microporosité

13
Q

Macroporosité?

A
  • Favorise la circulation des gaz et l’écoulement de l’eau de gravité
  • Plus grand que 0,06mm
  • Importants car ils permettent un bon drainage
14
Q

Microporosité?

A
  • Entrâve la circulation des gaz et de l’eau, retient l’eau par cappilarité
  • Plus petit que 0,06mm
  • Important car ils permettent la rétention en eau
15
Q

Facteurs qui influencent le réchauffement du sol?

A
  • La durée de l’insolation (durée de temps où un endroit à suffisamment de rayonnement)
  • L’angle des rayons solaire
  • La composition de l’atmosphère
  • La circulation de l’air près du sol
  • La nature de la surface
  • L’exposition
  • La couleur
  • La chaleur spécifique
  • La teneur en eau du sol
  • La végétation, la neige et les résidus végétaux
16
Q

Effets des pratiques culturales sur la température du sol?

A
  • Les cultures intercalaires (couverture du sol, un sol nu se refroidit plus rapidement)
  • Le drainage (moins d’eau = réchauffement plus rapide)
  • Paillis pâles
  • Paillis foncés
17
Q

Pourquoi on parle de la surface spécifique?

A

On parle de la surface spécifique, car elle influence le nombre de réaction qui se fait dans un sol

18
Q

Importance de la stabilité structurale?

A
  • La stabilité structurale est la résistance des liens à l’intérieur des agrégats aux forces externes (impacts etc…)
  • Elle détermine la susceptibilité (résistance) du sol à l’érosion hydrique, à la formation d’une croûte et au compactage
19
Q

Facteurs affectant la stabilité structurale?

A
  • texture
  • matière organique
  • oxydes hydratés
  • carbonates
  • activité biologique
  • teneur en eau
  • conditions climatiques
  • façons culturales
  • piétinement des animaux
20
Q

Test maison?

A

Mettre un motte de terre (agrégat) dans un tamis en présence d’eau et si après un certain temps la motte se défait c’est que sa stabilité structurale est faible et si elle résiste c’est qu’elle est élevée

21
Q

Utilité de MVA?

A
  • Elle est utile pour évaluer le niveau de compactage des sols, car elle est fortement influencée par les méthodes culturales et par la charge de la machinerie
  • Utile dans l’amendement
22
Q

Mesurer la MVA?

A
  • Méthode du cylindre

Masse cylindre, Masse du cylindre + sol sec, Volume du cylindre

23
Q

Ordres de grandeurs MVA?

A

Plus il y a de matière organique plus la MVA est petite donc les sols minéraux on toujours une MVA plus grande que les sols organiques

24
Q

Causes du compactage?

A

Pluie, irrigation, piétinement, machinerie agricole

25
Q

Prévention du compactage?

A
  • Éviter de circuler sur les sols humides ou de les travailler
  • Diminuer la pression exercée au sol par la machinerie agricole
  • Réduire le nombre de passage avec la machinerie
  • Avoir recours à la circulation contrôlée
  • Minimiser le travail du sol insérer des cultures améliorantes dans la rotation
  • Maintenir un bon taux de MO
26
Q

Détecter le compactage?

A
  • Profil cultural (racines, morphologie des pores, résistance au couteau)
  • MVA, perméabilité
  • Pénétromètre (comparer endroit compacté vs un endroit non compacté)
27
Q

Décompactage?

A
  • Compactage de surface (20 premier cm, chisel, herse)

- Compactage en profondeur (sous-soleuse)

28
Q

Conséquences du compactage?

A
  • Sol plus difficile à travailler
  • Dégradation de la structure
  • Réduction de la macroporosité
  • Modification de la morphologie des racines
  • Carences minérales du aux racines ne pouvant explorer parfaitement le sol
  • Maturité inégale
  • Baisse de rendement
  • Réduction de la macro
  • Réduction échanges gazeux
29
Q

Solution du sol?

A
  • Eau
  • Composés en solutions (organiques, inorganique)
  • Composés en suspension (virus, bactéries, argiles, limons)
30
Q

Charges permanentes?

A
  • Phyllosillicates
  • Subs. isomorphiques
  • Aucun effet pH
  • Charges négatives
  • Charges diffuses ou localisées selon l’endroit de la substitution
31
Q

Charges variables

A
  • Oxydes hydratés Fe et Al
  • Matière organique
  • Kaolinite
  • Ionisation des groupes fonctionnels oxydes hydratés et MO
  • Effet du pH
  • Charges positives (pH faible)
  • Charges négatives (pH élevé)
  • Charges localisées seulement
32
Q

Charges diffuses

A
  • Charge qui est enterrer dans la structure du minéral, elle n’est pas accessible physiquement à partir de la solution du sol
  • Pas possible de faire de liaisons chimiques (covalente ou ionique) avec les ions en solution
33
Q

Charges localisées

A
  • Charge ou je suis capable d’aller m’accrocher, accessible à partir de la solution du sol
34
Q

Adsorption

A

Particules retenues à la surface externe

35
Q

Absorption

A

Particules retenues à l’intérieur

36
Q

CEC

A
  • Ensembles des charges négatives à la surface des particules de sol (minéraux et matière organique) pouvant retenir des cations (+)
  • cmol+/kg
  • Sable = - de CEC
  • Sols organiques = + CEC
37
Q

CEA

A
  • Ensembles des charges positives à la surface de sol (minéraux et matière organique) pouvant retenir des anions (-)
38
Q

Cations échangeables?

A
  • Ions qui conservent les molécules d’eau de leur sphère d’hydratation
  • Rétention par attraction électrostatique (Ca2+ attire la partie négative de l’eau)
  • Retient les charges localisées ou diffuses
  • H+/Al3+/AlOH2+ (acide)
  • Ca2+, Mg2+, K+ (basique)
39
Q

Échanges cationiques

A
  • Lorsqu’il y a échange de cations c’est toujours en délaisser un pour un obtenir un autre
  • Absorption des ions par les racines
  • Chaulage
  • Fertilisation (KCl)
  • Rétrogradation du potassium
40
Q

Cations non échangeable

A
  • Ions qui ne conservent pas toute les molécules d’eau de leur sphère d’hydratation (ils délaissent des molécules pour se coller directement)
  • Rétention par liaison chimique (ionique ou covalente) implique donc des électrons
  • Charges localisées seulement
  • Cations peu disponibles ce qui est aventageux s’ils sont toxiques ou désavantageux s’ils sont essentiels
  • L’application de cations non échangeable est réglementer
  • Al3+, Cu2+, Zn2+, Fe2+, Mn2+
41
Q

% saturation en bases

A
  • Représente donc la proportion de cations basiques par rapport au total des cations présents sur la CEC
  • Cations basiques sont les éléments majeurs de la nutritions végétale (Ca2+, Mg2+, K+)
  • Elle varie selon la richesse des cations basiques, chaulage, fertilisation, lessivage, pH
42
Q

Anions échangeables

A
  • NO3-/SO42-/Cl-
  • Retenus par attraction électrostatique sur la CEA (MO)
  • CEA faible dans les sols (-10%)
  • Anions facilement lessivable
43
Q

Anions non échangeables

A
  • Phosphates, molybdates, borates
  • Forment des liaisons chimiques
  • Retenus fortement peuvent donc s’accumuler dans les sols
  • Sous forme d’ions polyatomiques (éléments toujours reliés à un autre ion)
  • Quand accumulation risque de saturations des sites de rétention ou meme contamination
44
Q

Hydrolyse de l’aluminium

A
  • L’aluminium n’est jamais tout nu en solution, il a des molécules d’eau autour de lui
  • Il va prendre une molécule d’eau, s’accaparer le OH et libérer un H+
  • Le seul moyen de se débarasser de l’aluminium c’est lorsqu’il précipite Al(OH)0/3
45
Q

Acidité active

A
  • Acidité en solution

- pH eau

46
Q

Acidité échangeable

A
  • Acidité sur la CEC
47
Q

Acidité résiduelle

A
  • Acidité dans les H+ de la matière organique
48
Q

Acidité de réserve

A
  • Acidité résiduelle + acidité échangeable
  • Acidité active et l’acidité de réserve sont en équilibre (cafetière)
    = Acidité de réserve plus grande que l’acidité active
49
Q

Pouvoir tampon d’un sol

A
  • Capacité du sol à résister au changement de pH (acidité de réserve)
  • Ils contribuent au tamponnement : oxydes hydratés Fe et Al, MO, aluminium et les carbonates
50
Q

Chaulage

A
  • Correction de l’acidité des sols
  • On cherche à neutraliser l’acidité de réserve (gros réservoir)
  • Comme l’acidité active et de réserve est en équilibre, la neutralisation d’une partie de l’acidité de réserve résulte automatiquement en une neutralisation de l’acidité active
51
Q

ECC (PN)

A
  • Rapport entre l’acidité neutralisée par l’amendemant calcaire et celle neutralisée par la même quantité de carbonate pur (CaCO3)
  • Exprime le pouvoir neutralisant d’un amendement calcaire
  • Permet de comparer le pouvoir neutralisant de différent produits
52
Q

IVA

A

IVA = pouvoir chaulant (PN) x % efficacité de la finesse de mouture

53
Q

pH tampon SMP

A
  • pH à l’eau inférieur à 6.3
  • Ajout d’une solution tampon SMP calibré au pH 7.5
  • Plus la valeur finale est proche du pH à l’eau plus la sol a une grande capacité tampon
  • Plus la valeur finale est proche de 7.5, le sol a pas une grande capacité tampon
54
Q

Alcalinité

A
  • Pour la disponibilité de certains éléments comme le fer
  • Besoin de certains cultures
  • Sols qui se développent sur des matériaux riches en carbonate, il faut un équilibre entre le calcium soluble et le CO2
55
Q

Facteurs d’acidification des sols

A
  • Pertes de bases échangeables de la CEC
  • Production d’acides organiques
  • Fertilisants à base d’ammonium
  • Érosion des sols
  • Altération de la roche mère
56
Q

Oxydation

A
  • Perte d’électrons par une substance
57
Q

Réduction

A
  • Gain d’électrons par une substance
58
Q

Donneurs électrons

A

La MO donne des électrons quand elle oxydent et lors de la dégradation

59
Q

Accepteurs électrons

A

1) O2
2) NO3-
3) MnO2, Fe(OH)3
4) SO4(2-)
5) CO2

60
Q

E0

A
  • Potentiel REDOX standard
  • Classe les éléments selon leur puissance en tant qu’oxydant
  • Résultats théoriques
61
Q

Eh

A
  • Potention REDOX non-standart

- Mesuré dans les conditions de l’environnement

62
Q

Intensité rédox (Pe)

A
  • Tendance d’une solution à accepter ou donner des électrons
63
Q

Oxique

A
  • Sols oxydés

- O2

64
Q

Anoxique

A
  • Sols très réduit

- NO3-, Mn4+, Fe3+

65
Q

Suboxique

A
  • Sols modérément réduit

- SO4(2-) / CO2

66
Q

Rhizosphère

A
  • Interface sol-racine
  • 2 à 4 mm autour des racines
  • Particules et agrégats, échanges ioniques, respiration racinaire, production d’exudats racinaires (acides orgs, sucres)
  • pH est différent, teneur en eau est différente
  • Endroit très dynamique
  • 5 à 50 x plus de microorganismes
  • 10 x plus ou moins élevée
  • Microflore
  • Humidité plus élevée
67
Q

Chélate

A
  • Ciment entre le ying et la yang du sol
68
Q

Engrais simple

A

Un seul élément (NH4+)

69
Q

Engrais composé

A

Deux éléments (PBA) apporte N et P

70
Q

Engrais complet

A

Trois éléments (N,P,K)

71
Q

Engrais de ferme

A
  • Mélange de déjections animales liquides et solides avec la litière
  • Réglement sur les exploitations agricoles
72
Q

MRF

A
  • Résidus industriels ou municipaux (biosolides, poussières de cimenteries, cendres de bois)
  • Loi sur la qualité de l’environnement
73
Q

À quoi faut-il faire attention avec les MRF et les engrais de fermes?

A
  • Excès d’azote et phosphore
  • Présence de métaux
  • Contaminants organiques
  • Microorganismes
74
Q

Signification des chiffres sur les sac d’engrais

A
  • Premier chiffre : %N
  • Deuxième chiffre : %P2O5
  • Troisième chiffre : %K2O
75
Q

Engrais vendus au Québec

A
  • Azote : urée, nitrate d’ammonium, solution d’azote
  • Phosphore : MAP, DAP
  • Potassium : KCl (un des engrais les plus salinisant)
76
Q

Facteurs requis pour la croissance des plantes

A
  • Support (stable, continu, meuble et profond)
  • Éléments nutritifs
  • Eau (assez mais pas trop)
  • Air (échanges gazeux)
  • Soleil
77
Q

Comment corrige-t-on l’alcalinité

A
  • Fertilisants ammoniacaux (diminution pH)
  • Amendements organiques (diminution pH)
  • Soufre élémentaire (oxydation et libération H+)
  • Sulfate de fer
  • Sulfate d’aluminium (faire attention à la toxicité)
78
Q

Facteurs à considérer lors de l’application de la chaux

A
  • Fractionnement de la dose (dépend de la texutre du sol et du pouvoir tampon)
  • Incorporation (5-10cm pas enfouir trop profondément)
  • Période d’épandage (risque compactage avec machinerie)
  • Temps de réaction (12 à 18mois le temps de la dissolution)
  • Fréquence (au 4 ou 5 ans et parfois chaulage d’entretien annuel afin de neutraliser nos engrais ammoniaco)
79
Q

Étapes de la correction de l’acidité

A

1) Trouver le besoin en chaux (SMP, pH cible, table)
2) Correction pour IVA
3) Correction pour la teneur en eau de la chaux
4) Correction pour la profondeur
Facultatif : correction avec la masse volumique apparente

80
Q

Comment évalue-t-on le besoin en chaux

A
  • C’est le nombre de moles de charge de cations basiques (Ca2+ et Mg2+) par kg de sol requis pour diminuer l’acidité échangeable à une valeur de pH considérée comme acceptable
81
Q

Différence entre une chaux fine et une chaux traditionnelle

A
  • La chaux fine réagit plus
82
Q

Impact de la finesse de mouture des amendements

A
  • Plus les particules sont petites alors plus c’est réactif
83
Q

3 catégories des chaux agricoles naturelles

A
  • Chaux calcique (0 à 5% Mg)
  • Chaux magnésienne (5 à20% Mg)
  • Chaux dolomitique (20% et + Mg)
84
Q

Sources d’amendements calcaires

A
  • Minéraux ou roches (calcaire, dolomie, pierre à chaux agricole naturelle)
  • Produits transformés d’industrie (chaux vive, chaux hydratés)
  • Autres (résidus de bettrave à sucre, cendres de bois. poussière cimenterie)
85
Q

Réaction du chaulage

A
  • Déplacement de l’acidité échangeable (aluminium) avec un cation basique
  • Précipitation de l’aluminum déplacé
86
Q

Formes d’acidité

A
  • Acidité active
  • Acidité résiduelle
  • Acidité échangeable
  • Acidité de réserve (résiduelle et échangeable)
87
Q

Facteurs influencent le pH

A
  • Saison d’échantillonage (fertilisation, activité microbienne, plantes)
  • Finesse de mouture
  • Dilution de l’échantillon
  • Nature de la solution
  • Temps d’équilibre
  • Pression partielle du CO2
88
Q

Comment mesure-t-on le pH

A
  • Colorimétrie (papier tournesol)
  • Méthode de potentiométrique, calcul différence de potentielle entre deux électrode et calibrage avec standard
  • pH à l’eau = variable
  • pH CaCl2 = plus stable plus représentatif
  • pH KCl = acidité échangeable et active
89
Q

Relation entre pH et les éléments

A
  • Le pH joue un rôle dans la disponibilité des éléments nutritifs du sol
  • Pour le Ca, Mg, K et P leur disponibilité est au max au pH 6.5-7.0
90
Q

pH

A
  • Mesure l’acidité des ions H+ dans la solution (acidité active)
  • pH=-log(H+)
  • [H+]=10^-pH
91
Q

Sélectivité des cations échangeables sur les surface

A

1) Valence (3+ > 2+ > 1+)
2) Degré d’hydratation des ions
3) Action de masse (apport massif d’un cation «chaulage/fertilisation»

92
Q

Propriété de l’eau

A
  • Eau est polaire
  • Plus l’eau est froide plus il y a pont H
  • Constante diélectrique élevée
  • Chaleur latente (qt énergie requise au changement de phase d’un corps)
  • L’eau qui gèle dégage de la chaleur
  • Adsorption des molécules d’eau en surface (adhésion)
93
Q

Teneur en eau du sol?

A
  • Pondérale (gravimétrique)
  • Pondérale humide (gravimétrique humide)
  • Teneur en eau volumique
  • Hauteur d’eau équivalente
  • Indice de saturation en eau du sol
94
Q

Eau pondérale (gravimétrique)

A

0g=(masse d’eau)/(masse de matière solides sèches)

celle que l’on a pris tout le début de la session

95
Q

Eau pondérale humide (gravimétrique humide)

A

0gh=(masse d’eau)/(masse de matière solides humides)

96
Q

Eau volumique

A
  • on ne peut pas le faire en laboratoire, car l’eau n’est plus dans son volume original
  • 0=0g x (masse volumique apparente du sol)/(masse volumique de l’eau)
97
Q

Hauteur d’eau équivalente

A

e = 0 x h

98
Q

Indice de saturation en eau du sol

A
  • si le sol est complètement saturé en eau il n’y a pas de place pour l’air
    contenu en eau actuel par rapport à la capacité totale que le sol peut contenir
  • Is = 0/n
99
Q

Rétention de l’eau en milieu saturé?

A
  • tous les pores sont remplis d’eau
  • pression positive
  • eau de gravité (eau facilement accessible)
100
Q

Rétention de l’eau en milieu non saturé?

A
  • il n’y a plus d’eau de gravité
  • l’eau est sous tension (pression négative)
  • remontée capillaire (plus le tube est petit/pore plus la hauteur de remontée capillaire est grande - loi de jurin)
  • eau de cohésion (eau plus loin de la particule, elle est très disponible)
  • eau d’adhésion (tension élevée, eau hygroscopique)
101
Q

Contrôler les pertes d’eau

A
  • Paillis
  • Irrigation gouttes à gouttes
  • Labour d’automne (rétablir réserve d’eau sous-terrain)
  • M.O (augmentation de l’eau utilisable)
102
Q

Évapotranspiration

A
  • Sommes des quantités d’eau perdues par l’évapotranspiration du sol et la transpiration des plantes
  • C’est important car cela nous dicte quand irriguer
103
Q

Mouvement de l’eau en condition saturée

A
  • Infiltration
  • Percolation
  • Lessivage
  • Conductivité hydraulique saturée
  • Loi de Darcy
104
Q

Infiltration

A
  • Pluie

- Irrigation

105
Q

Percolation

A
  • Déplacement de l’eau une fois infiltrer
106
Q

Lessivage

A
  • Processus d’enlèvement des composés solubles par l’eau percorant
107
Q

Conductivité hydraulique saturée

A
  • Indicateur de la perméabilité d’un sol (vitesse d’infiltration cm/h, m/j)
108
Q

Loi de Darcy

A
  • La vitesse de l’eau est proportionnelle à la conductivité hydraulique saturée
109
Q

Mesurer l’eau dans le sol

A
  • Marmite
  • Tensiomètre
  • TDR
110
Q

Test de la marmite

A

On pousse de l’air dans un sol et on récupère l’eau qui sort

capacité au champs et point de flétrissement

111
Q

Tensiomètre

A

tension à laquelle l’eau est retenu dans le sol

112
Q

TDR

A

en rapport avec la constante diélectrique

113
Q

Eau inutilisable

A

Après PFP

114
Q

Eau de gravité

A

Avant CC (capacité aux champs)

115
Q

Eau utilisable

A

Entre CC et PFP

116
Q

Point de flétrissement permanent

A

point ou la plante flétrie et est irrécupérable

117
Q

Point de flétrissement temporaire

A

point ou la plante flétrie mais est récupérable

118
Q

Capacité de rétention au champs

A

eau qui reste après que l’eau de gravité soit partie

119
Q

Eau gravitationnelle

A

première eau qui part après la saturation

120
Q

Saturation en eau

A
  • Is=100%

- tout le sol est plein d’eau et l’eau supplémentaire passe au travers

121
Q

Potentiel d’eau en zone saturée

A

yt=yp+ys+yg

122
Q

Potentiel d’eau en zone non saturé et en frange capillaire

A

yt=ym+ys+yg

123
Q

énergie de l’eau du sol

A
  • Potentiel de l’eau
  • Potentiel matriciel
  • Potentiel osmotique
  • Potentiel de pression
  • Potentiel gravitationnel
124
Q

comment se déplace l’eau dans le sol?

A
  • l’eau se déplace du niveau d’énergie élevée vers un niveau d’énergie plus faible
  • moins retenus vers plus retenus
  • plus humide à moins humide)
125
Q

Potentiel de l’eau

A

quelle énergie je dois mettre pour aller chercher l’eau de mon sol, plus l’eau est retenu fortement plus son potentiel est négatif

126
Q

Potentiel matriciel

A
  • forces d’adsorption de l’eau adhésion et cohésion
  • sol non saturé
  • tjrs négatif
  • Ym
127
Q

Potentiel osmotique

A
  • Ys
  • concentration des ions en solution affectent mouvement plus qu’il y a d’ions pour que c’est difficile
  • tjrs négatif
128
Q

Potentiel de pression

A
  • Yp
  • effet de la pression de gaz ou d’une colonne d’eau
  • sol saturé signe positif
  • sol non saturé = 0
129
Q

Potentiel gravitationnel

A
  • Yg
  • signe positif ou négatif
  • observer uniquement au champs
130
Q

Qualité des sols généralités

A
  • Un sol de qualité c’est un sol productif et durable qui agit comme un filtre environnemental
  • La qualité est aussi un indicateur de santé
  • Il y a des indicateurs descriptifs et mesurables
131
Q

Indicateurs descriptifs

A
  • paysage

- profil de sol

132
Q

Indicateurs mesurables

A
  • propriétés physiques
  • propriétés biologiques
  • propriétés chimiques
133
Q

Dégradation des sols sous monoculture

A
  • Détérioration de la structure
  • Érosion
  • Perte de diversité biologique
  • Compactage et croûte de battance
  • Perte de M.O, contamination, perte éléments nutritif
  • Surfertilisation
  • Acidification
134
Q

Les types d’érosion

A
  • hydrique (eau et glace)

- éolienne (vent)

135
Q

Qu’est-ce que l’érosion hydrique

A
  • Détachement des particules
  • Transport des particules
  • Redéposition des particules
  • par l’eau
136
Q

Aménagement pour contrer l’érosion

A
  • Bandes de protection riveraine
  • Stabilisation des berges et des fossés
  • Voies d’eau engazonnées
  • Bassins de captage
  • Stabilisation des sorties d’eau
  • Culture en contre-pente
  • Terrasses
  • Haies brise-vent
137
Q

Objectifs du travail du sol

A
  • Améliorer les propriétés physiques, chimiques, biologiques
  • Incorporer fertilisant, amendements, engrais
  • Assainir les cultures
  • Améliorer le rendement
  • Lutter contre l’érosion
138
Q

Qu’est-ce que le travail conventionnel

A
  • 2 étapes :
    Travail primaire = labour
    Travail secondaire = niveler, préparer lit semance, semer (en surface)
139
Q

Avantages du travail conventionnel

A
  • Bon pour l’incorporation d’engrais, amendement, pesticides
  • Bonne infiltration air et eau
  • Favorise le réchauffement et l’assèchement au printemps
  • Controle certains organismes nuisibles et les mauvais herbes
  • Nivelement
140
Q

Inconvénients du travail conventionnel

A
  • Demande temps et énergie
  • Pas de protection du sol
  • Perte de M.O
  • Impact négatif sur la structure
141
Q

Qu’est-ce que le travail réduit

A
  • 2 étapes :
    Travail primaire = sol est brisé ou soulevé (Chisel)
    Travail secondaire = preparer le lit de semence
142
Q

Avantages du travail réduit

A
  • Bon pour l’incorporation d’engrais, amendements, pesticides
  • Controle certains organismes nuisibles et mauvaise herbe
  • Moins d’énergie nécessaire
  • Protection du sol
  • Conserve M.O en surface
  • Bonne infiltration de l’eau et air
  • Réduction du compactage
143
Q

Inconvénients du travail réduit

A
  • Réchauffement et sèchement plus lent au printemps
  • Conditions plus sèches nécessaire
  • Adaptation des équipements
144
Q

Qu’est-ce que le semis direct

A

Aucun travail de sol, une seule opération le semi

145
Q

Avantages du semis direct

A
  • Bonne couverture de résidus (protection érosion)
  • Amélioration de la structure et activité biologique
  • Diminution du compactage
  • Réduction des couts de machinerie
  • Économie de temps
146
Q

Inconvénients du semi direct

A
  • Réchauffement lent au printemps

- Mauvais controle des herbes et maladies

147
Q

Qu’est-ce que culture sur billons

A

Cultiver en rangées sur de petites buttes de hauteur (15cm)

148
Q

Avantages de culture sur billons

A
  • Protection contre érosion avec la couverture de résidus
  • Amélioration de la structure biologique
  • Diminution du compactage
  • Faible cout
  • Économie de temps
149
Q

Inconvénients de culture sur billons

A
  • Période courtes pour le billonage et sarclage
  • Contraintes pour le déplacement dans les champs
  • Semi parfois difficile
  • Technique mal adaptée pour les cultures en rang rapprochés
150
Q

Facteurs qui affectent l’évolution de la matière organique dans les sols

A
  • Climat (température, précipitation)
  • Environnement ou écosystème
  • Propriétés du sol (texture, drainage, acidité)
  • Façons culturales (travail du sol, rotations, résidus cultures)
  • Types d’apport organiques et amendement humique (résidus ligneux, engrais vers, résidus pailleux, tiges et feuilles, prairies temporaire, fumier)
151
Q

Effets du travail conventionnel sur les propriétés physiques, chimiques et biologiques

A
  • Diminution de la M.O
  • Activité biologique moins intense
  • Sol réchauffe plus vite
  • Augmentation du ruisellement et de l’érosion
  • Stabilité structurale plus faible
  • Moins de pertes liés au lessivage
152
Q

Effets du travail réduit sur les propriétés physiques, chimiques et biologiques

A
  • Augmentation de la M.O
  • Activité biologique intermédiaire
  • Réchauffement intermédiare
  • Stabilité structurale plus faible en surface moins de compactage
  • Moins de ruisellement et érosion
  • Perte plus forte en lessivage
153
Q

Effets du travail semis direct et billons sur les propriétés physiques, chimiques et biologiques

A
  • Augmentation de la M.O
  • Activité biologique intense (mycorhize)
  • Réchauffement lent
  • Plus grande stabilité structurale
  • Diminution de l’érosion et ruisellement
  • Augmentation du lessivage
154
Q

Éléments du premier groupe

A
  • C,H,O,N,S

- Sous formes ions et gaz

155
Q

Éléments du deuxième groupe

A
  • P, B, Si

- Sous forme ions (anions/-)

156
Q

Élément du troisième groupe

A
  • K, Na, Mg, Ca, Mn, Cl

- sous forme ions (cations) sauf Cl-

157
Q

Élément du quatrième groupe

A
  • Fe, Cu, Zn, Mo

- sous forme ions ou chélate

158
Q

Rôle physiologiques des éléments du premier groupe

A
  • constituants des matériaux organiques
  • processus enzymatiques
  • assimilation : rédox
159
Q

Rôle physiologiques des éléments du deuxième groupe

A
  • sous forme d’esters

- transfert d’énergie ATP

160
Q

Rôle physiologiques des éléments du troisième groupe

A
  • Potentiel osmotique
  • Enzymes activation
  • Équilibre des charges
  • Perméabilité membranaire
161
Q

Rôle physiologiques des éléments du quatrième groupe

A
  • Forme chélatée (liée à des composés organiques)

- Transport d’électrons

162
Q

La température intervient sur

A
  • La température intervient sur : la germination, l’activité des micro-organismes, la vitesse des réactions, l’intensité et le type d’altération et la structure ou l’agrégation du sol (gel-dégel)
163
Q

Étapes chaulage?

A
  • Dissolution CaCO3

- CO3 réagit avec 2H+ et fait augmenter le pH et diminue l’acidité active

164
Q

Loi de Jurin?

A
  • Gros tube (G3) = l’eau monte rapidement = petite remontée

- Petit tube (G2-G1) = l’eau monte lentement = grande remontée

165
Q

Mouvement de l’eau en conditions non saturé

A

Eau va dans n’importe quelle direction