2 types de troubles de la production écrite selon l’approche anatomo clinique
agraphies aphasiques –> trouble de l’ortho
agraphie apraxique –> trouble du graphisme
dysorthographie de surface/ortho
- PSDM ok
- mots réguliers ok mais si fort niveau d’ambiguïté, perf baisse
– Interaction avec la fréquence des mots
– Pas d’effet de la longueur des mots
– Pas d’effet de la classe grammaticale (noms, verbes, etc.)
– Erreurs: phonologiquement plausibles (régularisations):
■ Ilôt → ilo, rameau → ramo, sœur → seur
mot peu fréquent très sensibles à la régularité
dysortho phonologique
- pas de pbs avec les mots
- PSDM compliqués
■ Effet de la classe grammaticale (ouverte>fermée)
■ Pas d’effet de la régularité orthographique
■ Erreurs non phonologiques
– *wib → wisp, *bup → coz
■ Associé à des difficultés dans les tâches de: – Conscience phonémique
■ Comparaison: chord – cap
■ Suppression du 1er son: smile → mile
– Conversion de sons isolés en lettres ■ [k] → c, k ou ck
dysorthographie profonde
- mélange des troubles sur les 2 voies
- PSDM non, surtout si plusieurs syllabes
- ne change pas si mot régulier ou non, même effet MAIS effet d’abstraction, aura plus de facilité à produire mot concret qu’abstrait
- effet de la classe grammatical (moins de d’erreurs avec les noms qu’avec els vb)
- erreurs de différents types (phono et sémantiques)
que se passe-t-il en cas d’atteinte de la mémoire tampon orthographique ?
- erreurs quantitativement et qualitativement similaires entre tous les patients au niveau des mots ou PSDM et dans toutes les taches (ecriture, dactylographie)
- sensible à la longueur du mot (mais pas à la régularité ni la fréquence)
- erreur sont des suites de lettres orthographiquement illégales
qu’est ce que la mémoire tampon orthographique ?
- permet de maintenir temporairement l’info en mémoire dans sa structure ortho le temps de la production motrice
- info stockée de manière abtraite
- définie au niveau spatiale : patient avec hémi-négligence G ou D aurait du mal avec le début ou la fin du mot, meme si en vertical –> représentation déficitaire
- impliqué aussi en lecture
principe d’activation parallèle passive
lorsqu’on veut écrire un mot, plusieurs représentations s’activent en meme temps en mémoire et la représentation qui colle le plus à ce qu’on veut ecrire, va atteindre le seuil en premier et constitue la réponse générée par le système
- dépend de la fréquence du mot
conclusion de Badecker
si le mot peut etre reconnu comme 2 parties, il va etre traité en 2x et donc moins d’erreur mais si les deux parties ne sont aps facilement identifiables, va els traiter en 1x
observations des erreurs des patients qui présenteraient des déficit des représentations ortho
- substitution de phonèmes
mais garde place C et V