Asthme Flashcards

1
Q

Prévalence + épidémio

A

8% en âge scolaire
1ère maladie chronique de l’enfant
Exacerbation: 1ère cause de consultation aux urgences pédiatriques
augmentation de fréquence et de sévérité

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2
Q

Def

A

L’asthme est une maladie inflammatoire chronique des voies aériennes avec obstruction diffuse mais variable des voies aériennes réversibles. Elle entraîne chez un sujet prédisposé des épisodes récidivants de sifflements, gêne respiratoire et toux.

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3
Q

Triade de l’atopie

A

asthme, dermatite atopique et rhinoconjonctivite

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4
Q

Pneumallergènes les + fq dans l’asthme allergique

A

les acariens, les pollens et les phanères d’animaux domestiques

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5
Q

Physiopath asthme allergique

A

allergènes -> dégranulation des mastocytes bronchiques, en se liant aux IgE fixés en surface -> libération de médiateurs -> bronchospasme et réponse inflammatoire
+ facteurs non allergiques

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6
Q

Facteurs déclenchants de crises d’asthme

A
  • infections (virales++)
  • exercice
  • inhalation buccale d’air sec et froid
  • polluants atmosphériques (le 1er: tabagisme parental)
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7
Q

Asthme de l’enfant de < 3 ans

A

Au moins trois épisodes dyspnéiques avec sibilants ;
et ce, quels que soient l’âge de début, l’existence ou non de signes d’atopie, et la cause apparemment déclenchante des épisodes

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8
Q

Facteurs orientant vers un profil évolutif particulier dans l’asthme du < 3 ans

A

sexe masculin et tabagisme maternel durant la grossesse -> transitoire
atopie familiale et sensibilisation allergénique -> pérennisation

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9
Q

Tableaux devant faire évoquer le diagnostic d’asthme du jeune enfant et de l’adolescent

A
  • des épisodes récidivants de dyspnée expiratoire, avec sibilants à l’auscultation ;
  • des épisodes de toux nocturnes, notamment en 2e partie de nuit, réveillant l’enfant ;
  • des épisodes de toux ou sibilants après l’effort ou ses équivalents (rires, pleurs) ;
  • des épisodes de toux, sibilants ou gêne respiratoire après exposition à des allergènes ou polluants ;
  • a fortiori s’il existe un terrain atopique personnel et/ou familial.
    La disparition des symptômes, spontanée ou à l’aide de bronchodilatateurs, est également un bon argument diagnostique.
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10
Q

Signes cliniques asthme

A

dyspnée expiratoire, wheezing et sibilants

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11
Q

Elements évoquant un DD

A
  • terrain particulier (antécédents de prématurité, déformation thoracique, cardiopathie connue)
  • début très précoce de la symptomatologie, dès le 1er mois de vie ;
  • l’absence d’intervalles libres entre les exacerbations, avec des signes intercritiques (stridor, cornage, dyspnée aux deux temps, wheezing, bronchorrhée)
  • des signes extrarespiratoires associés (souffle cardiaque, dyspnée d’effort, cassure staturo-pondérale, diarrhée chronique, fausses routes, infections ORL bactériennes fréquentes)
  • l’échec des mesures thérapeutiques bien conduites
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12
Q

Premiers examens à réaliser en cas de doute diagnostique

A

EFR, endoscopie bronchique et TDM thoracique

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13
Q

DD de l’asthme

A
  • Obstruction des voies aériennes proximales
  • Obstruction des petites voies aériennes
  • Pathologie d’inhalation
  • Cardiopathie congénitale
  • Pneumopathies en contexte d’immunosuppression
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14
Q

DD d’obstruction des voies aériennes proximales

A

– Trachéomalacie, bronchomalacie
– Corps étranger inhalé
– Anomalie des arcs aortiques
– Kyste bronchogénique
– Sténose trachéale, sténose bronchique
– Tumeur, adénopathie, granulome

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15
Q

DD d’obstruction des petites voies aériennes

A

– Mucoviscidose
– Dysplasie bronchopulmonaire
– Dyskinésie ciliaire primitive
– Bronchiolite oblitérante (séquelle grave de virose)

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16
Q

DD de pathologies d’inhalation

A

– Reflux gastro-œsophagien
– Fistule œsotrachéale
– Troubles de déglutition

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17
Q

DD de cardiopathie congénitale

A

– Shunt gauche-droite

– Cardiomégalie

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18
Q

Examens complémentaires

A

Tx thorax de face en inspiration en période intercritique systématique
+/- en expiration si doute sur asymétrie
+/- EFR si DD chez > 3 ans
+/- endoscopie bronchique si DD
+/- scanner thoracique si DD
+/- pH-métrie des 24h, test de la sueur, examen ORL, enquête immunitaire humorale selon contexte si DD

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19
Q

Rx thorax asthme

A

normale

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20
Q

EFR asthme

A

Chez l’enfant de + de 3 ans
Argument diagnostic + appréciation de la sévérité
Répétées 1 fois/an si asthme léger, 1/6 mois si asthme persistant sévère
Sd obstructif réversible après BDCA ou mise en évidence d’une hyperréactivité bronchique par un test de provocation à la métacholine

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21
Q

Evaluation du retentissement clinique de l’asthme / “contrôle” de l’asthme au quotidien

A
  • fréquence des exacerbations ;
  • fréquence des symptômes en dehors des exacerbations (toux ou sifflements diurnes, toux ou sifflements nocturnes, toux ou sifflements à l’effort ou aux équivalents d’effort (pleurs, rires))
  • retentissement sur les activités, gêne à la pratique sportive ;
  • absentéisme scolaire lié à l’asthme ;
  • consommation de bêta2-mimétiques.
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22
Q

EFR chez les 3-6 ans

A

L’enfant âgé de 3 à 6 ans est incapable de réaliser des manœuvres respiratoires forcées. On peut réaliser au cours de la ventilation spontanée, une mesure des résistances des voies aériennes (techniques de pléthysmographie corporelle, interruption du débit aérien, ou oscillations forcées)

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23
Q

EFR chez > 6 ans

A

L’enfant âgé de plus de 6 ans est capable de réaliser des manœuvres expiratoires forcées, comme chez l’adulte. On peut alors réaliser une courbe débit/volume, permettant la mesure des volumes pulmonaires mobilisables (capacité vitale forcée [CVF]) et des débits bronchiques (volume expiratoire maximal en 1 seconde [VEMS]).

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24
Q

Def d’un TVO

A

Un trouble ventilatoire obstructif est défini par un VEMS < 80 % des valeurs prédites ou par un VEMS/CV (rapport de Tiffeneau) < 80 %.

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25
Q

Def réversibilité d’un TVO

A

Cette obstruction est dite significativement réversible lorsque la valeur du VEMS s’améliore d’au moins 12 % après bronchodilatateur.

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26
Q

Possibilité et limites du DEP chez l’enfant

A

DEP à partir de 6 ans mais peu informatif chez l’enfant car leurs atteintes sont distales, or le DEP évalue plutôt le degré d’obstruction des grosses voies aériennes

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27
Q

Indications enquête allergologique

A
  • chez tout asthmatique âgé de plus de 3 ans ;
  • chez l’asthmatique âgé de moins de 3 ans ayant :
    des signes respiratoires persistants et/ou récidivants
    et/ou sévères,
    et/ou nécessitant un traitement continu,
    et/ou associés à des signes extrarespiratoires compatibles avec une origine allergique.
28
Q

1ere intention: bilan allergologique

A

anamnèse et prick-tests

29
Q

2e intention: bilan allergologique

A
  • dosage des IgE spécifiques d’un pneumallergène en cas de discordance entre la clinique et les résultats des prick-tests (ou si réalisation ou interprétation impossible).
  • tests multiallergéniques in vitro en cas de réalisation difficile des tests cutanés : Phadiatop® pour les allergènes respiratoires, Trophatop® pour les allergènes alimentaires.
30
Q

Anamnèse devant crise d’asthme aigu

A
  • antécédents familiaux et personnels notamment atopiques
  • date du dernier épisode aigu, le traitement de fond éventuel
  • début des symptômes et leurs modalités évolutives
  • survenue d’un facteur déclenchant connu ou supposé
  • conduite thérapeutique débutée au domicile
31
Q

def crise d’asthme

A

Un accès paroxystique de durée brève. Les symptômes cèdent rapidement, spontanément ou après inhalation de bronchodilatateurs de courte durée d’action (BDCA).

32
Q

def exacerbation asthmatique

A

persistance des symptômes respiratoires au-delà de 24 heures, quel que soit le mode de début, progressif ou brutal

33
Q

def AAG

A

Crise ne répondant pas au traitement, ou dont l’intensité est inhabituelle dans son évolution ou sa symptomatologie. Elle peut évoluer vers l’insuffisance respiratoire aiguë, menaçant alors le pronostic vital.

34
Q

FdR AAG

A

TERRAIN
– Jeune enfant (< 4 ans) et adolescent
– Syndrome d’allergie multiple, allergie alimentaire, allergie médicamenteuse (aspirine)
– Mauvaise perception de l’obstruction
– Déni de l’asthme, mauvaise observance, troubles sociopathologiques
HDM
– Antécédent d’hospitalisation en réanimation
– Asthme instable, consommation anormalement élevée de BDCA, augmentation des crises
– Moindre sensibilité aux thérapeutiques usuelles
– Facteurs déclenchants spécifiques : aliment, anesthésie, stress

35
Q

Apprécier la gravité d’une crise d’asthme

A

en légère / modérée / sévère (GRAPP -> revoir!!)
Mesure du DEP à partir de 6 ans
Ne pas oublier d’évaluer la parole !!!! Primodial !!!
Crise sévère: silence auscultatoire, trouble d’élocution, satO2 < 90%

36
Q

Indications à la Rx thorax dans la crise d’asthme

A

en cas de premier épisode, de fièvre, d’anomalies auscultatoires (crépitants localisés, asymétrie auscultatoire) ou de crise sévère justifiant une hospitalisation

37
Q

Que chercher sur la Rx de crise d’asthme ?

A

une distension thoracique, une complication (atélectasie, pneumopathie, pneumothorax, pneunomédiastin)

38
Q

Examens bio pouvant être indiqués selon les cas dans la crise d’asthme

A

NFS-CRP en cas de sepsis, ionogramme sanguin à la recherche de troubles d’hydratation et d’hypokaliémie (administration importante de bêta2-mimétiques), recherche d’une hypercapnie par gazométrie en cas d’indication de transfert en réanimation

39
Q

PeC crise d’asthme

A
  • BDCA inhalés: salbutamol (Ventoline) ou sulfate de terbutaline (Bricanyl)
  • en cas de crise sévère: bromure d’ipratropium (Atrovent) (dans la 1ère heure)
  • en cas de crise modérée ou sévère: corticothérapie orale (ou parentérale) par bétaméthasone (Celestène), prednisone (Cortancyl), prednisolone (Solupred)
    +/- salbutamol IV ou sulfate de Mg IV en SI
40
Q

Ttt crise d’asthme fébrile

A

Pas d’AB systématique

41
Q

Modes d’admin BDCA

A
  • aérosols-doseurs avec chambre d’inhalation :
    1 bouffée (100 μg) pour 2 kg de poids (10 bouffées maximum) équivalent salbutamol ;
  • nébulisations avec 6–8 L d’oxygène: 150 μg/kg/nébulisation d’équivalent salbutamol, soit 1 dosette 1,25 mg (0–10 kg), 2,5 mg (10–16 kg), 5 mg (> 16 kg) équivalent salbutamol.
    L’administration est répétée toutes les 20 minutes pendant 1 heure.
42
Q

Avantage nébulisations

A

ne nécessite pas la coopération de l’enfant

43
Q

Modalités prescription anticholinergiques de synthèse

A

bromure d’ipratropium (Atrovent®), 3 nébulisations de 0,25 mg pour les enfants d’âge < 6 ans, 0,50 mg pour les enfants d’âge ≥ 6 ans

44
Q

Poso corticothérapie

A

1 à 2 mg/kg/j d’équivalent prednisone (sans dépasser 60 mg) en 1 prise, pour une durée de 3 à 5 jours (sans décroissance progressive)
Attention: ne traite pas la crise

45
Q

Critères de retour au domicile après ttt initial

A
  • FR ≤ 30/min (si âge ≥ 2 ans), absence de signes de lutte respiratoire ;
  • DEP ≥ 70 % (de la théorique de l’enfant), enfant exprimant qu’il se sent bien (si en âge de parler) ;
  • compréhension du traitement de sortie, proximité d’un hôpital en cas de récidive de la gêne respiratoire.
46
Q

Ordonnance de sortie d’une crise d’asthme non hospitalisée

A
  • poursuite des inhalations de BDCA pendant 5 à 7 jours (jusqu’à disparition des symptômes) et des corticoïdes oraux (si prescrits)
  • consignes de surveillance et plan d’action expliqués
  • consultation avec le médecin traitant nécessaire dans les 48 heures pour une réévaluation clinique et éventuelle indication à un traitement de fond: souvent initié au décours d’une crise d’asthme hospitalisée, et poursuivi pour une durée d’au moins 3 mois
47
Q

Def contrôle total de la maladie asthmatique

A
  • l’absence de symptômes diurnes et nocturnes ;
  • l’absence de limitation de l’activité physique ;
  • l’absence de recours aux bronchodilatateurs de courte durée d’action ;
  • l’absence d’absentéisme (crèche ou école pour l’enfant, travail pour les parents) ;
  • l’absence de recours aux soins en urgence pour asthme
48
Q

Degré de sévérité de l’asthme

A

intermittent, persistant léger, persistant modéré, ou persistant sévère
selon importance des symptômes, symptômes nocturnes, DEP/VEMS, variation DEP (cf tableau)

49
Q

Base du ttt de fond

A

corticothérapie inhalée: indiquée pour tout asthme persistant
Pas de corticothérapie par voie générale

50
Q

Principales molécules ttt fond cortico

A
  • fluticasone (Flixotide®)
  • budésonide (Pulmicort®)
  • béclométasone (Bécotide®)
51
Q

Doses cortico de fond selon stade

A

faibles (≤ 200 µg/j de fluticasone, ≤ 500 µg/j de béclométasone/j, ≤ 400 µg/j de budésonide) pour les stades léger ou modéré ; fortes (≥ 500 µg/j d’équivalent béclométasone) pour le stade sévère
puis utilisation de la dose minimale de corticoïdes inhalés efficace

52
Q

Effets secondaires cortico de fond

A

candidose (prévenue par le rinçage de la bouche après administration) et dermite périorale.

Les effets secondaires systémiques sont plus rares : ralentissement transitoire de la vitesse de croissance (mais taille finale inchangée) et possible freinage de l’axe corticotrope

53
Q

Méthodes d’inhalation cortico de fond < 3 ans

A
  • aérosols-doseurs avec chambre d’inhalation et masque facial,
  • nébulisations avec un générateur pneumatique dans les formes sévères
54
Q

Méthodes d’inhalation cortico de fond 3-6 ans

A

aérosols-doseurs avec chambre d’inhalation sans masque facial (respiration buccale)

55
Q

Méthodes d’inhalation cortico de fond > 6 ans

A
  • aérosols-doseurs autodéclenchés,

- inhalateurs de poudre.

56
Q

Méthodes d’inhalation cortico de fond > 8-9ans

A

Aérosol-doseur

57
Q

BDLA

A

à partir de 4 ans
salmétérol et formotérol
associations médicamenteuses combinant corticoïde inhalé et BDLA: fluticasone-salmétérol (Sérétide®), budésonide-formotérol (Symbicort®), fluticasone-formotérol (flutiform®)

58
Q

Antileucotriènes

A

antagonistes des récepteurs aux leucotriènes
montelukast (Singulair®)
4 mg à partir de l’âge de 6 mois, 5 mg entre 6 et 12 ans, 10 mg après 12 ans
- associé aux corticoïdes inhalés en cas d’asthme persistant insuffisamment équilibré avec une corticothérapie inhalée seule
- en monothérapie dans les asthmes d’effort ou aux asthmes légers pour lesquels une corticothérapie inhalée a fait la preuve de son échec

59
Q

anticorps monoclonaux humanisés anti-IgE

A

très peu d’indications
L’omalizumab (Xolair®) peut être prescrit après l’âge de 6 ans, en cas d’asthme allergique persistant sévère non contrôlé

60
Q

Msures environnementales (même chez l’enfant non allergique)

A

arrêt du tabagisme passif, mesures d’hygiène en période d’infection virale saisonnière, bonne aération du domicile, pas d’acquisition d’animaux domestiques, vaccination anti-grippale

61
Q

Ttt en cas de symptômes ORL associés

A

traitement antihistaminique

62
Q

Lorsque l’asthme est bien contrôlé chez l’enfant allergique…

A

discussion d’une immunothérapie spécifique sublinguale

63
Q

Suivi du patient asthmatique

A

fonction de la sévérité de l’asthme et de son contrôle, environ tous les 3 à 6 mois, avec réalisation d’EFR (si en âge) au moins 1 fois par an

64
Q

Objectifs des consultations de suivi

A
  • apprécier le contrôle de l’asthme et adapter le traitement ;
  • évaluer l’observance et l’éducation thérapeutiques ;
  • apprécier le retentissement de l’asthme sur la vie de l’enfant et de sa famille.
65
Q

Stratégie en cas de non-contrôle de l’asthme

A
  • vérifier l’observance
  • évaluer l’éducation thérapeutique :
  • reconsidérer le diagnostic d’asthme :
  • rechercher un facteur aggravant associé (pathologie ORL, RGO)
  • augmenter la pression thérapeutique si le non-contrôle n’est pas attribuable à un de ces facteurs
66
Q

Mesures sociales

A

Education thérapeutique indispensable
Projet d’Accueil Individualisé (PAI) en collectivité
PeC 100% si forme sévère +++