2eme Partie L'engagement Des Secours Flashcards Preview

118.1 questions en vrac > 2eme Partie L'engagement Des Secours > Flashcards

Flashcards in 2eme Partie L'engagement Des Secours Deck (87)
Loading flashcards...
1
Q

Quelle procédure doit ont appliqué si un requérant se présente au PVO

A

Si un requérant se présente au centre de secours pour une intervention, deux cas sont envisageables :
‒ le requérant est la victime ou l’intervention est à proximité immédiate du CS et visible des sapeurs-pompiers : l’appel verbal est géré comme une présentation spontanée 10 au CS ;
‒ l’intervention est éloignée du CS et aucun élément tangible ne permet ni de confirmer, ni de qualifier « facilement » l’urgence de la demande de secours : le stationnaire du PVO met en relation le requérant avec un opérateur 18/112 du CO. La conférence à trois doit être privilégiée (opérateur 18-112, stationnaire et requérant).

2
Q

Donner la définition du DN ?

A

Le départ normal (DN) est un détachement préconstitué. Il est commandé par un chef de garde indifféremment a bord d’un EP ou d’un VLR. En l’absence, un officier de garde compagnie est sélectionné et le commande. il est constitué de 2 EP et d’un MEA et VO. Il est la réponse initiale a tout feu ou explosion de contenant.

3
Q

Que veut dire HMB ?

A

Hors mission brigade,
C’est une intervention virtuelle qui n’entre pas dans le cadre des missions Brigade mais qui permet sa gestion par les opérateurs. Ce type d’intervention regroupe :
‒ les procédures vertes (voir §1.5.1.) ;
‒ les appels successifs par les requérants pour une même intervention ;
‒ les situations qui ont évolué défavorablement et nécessitent finalement l’intervention des secours (exemple : défaut de prestataires de service).

4
Q

Qu’est que la procédure Blanche ?

A

C’est une procédure générale entrant dans les missions Brigade (MIB), qui consiste pour l’opérateur du CTA 18/112, en absence de détresse vitale potentielle ou évidente suspectée lors de l’appel, à déclencher un moyen de prompt-secours et à attendre, sauf cas de non contact, la transmission d’un bilan de ce dernier à la coordination médicale.

5
Q

Qu’est que la procédure orange ?

A

C’est une procédure particulière entrant dans les missions Brigade (MIB).
L’appel fait ressortir des éléments pouvant faire suspecter une détresse vitale potentielle à l’interrogatoire par l’opérateur du CTA 18/112. Il déclenche alors l’envoi immédiat d’un moyen de prompt-secours et procède à la bascule de cet appel au médecin coordinateur afin d’établir une conférence à trois.
En fonction de sa décision d’envoyer ou non, au départ des secours, un moyen médicalisé (AR ou UMH selon la disponibilité des engins et le secteur géographique), le médecin coordinateur modifie alors en conséquence le code couleur initialement affecté à l’opération.
En cas d’envoi d’emblée d’un moyen médicalisé, le centre de secours concerné est immédiatement informé par un opérateur de la coordination médicale de la décision prise.

6
Q

Qu’est que la procédure rouge ?

A

C’est une procédure particulière entrant dans les missions Brigade (MIB).
L’appel fait ressortir des éléments circonstanciels qui font suspecter la présence d’une détresse vitale de manière évidente (chute de grande hauteur, plaie arme à feu, plaie thoraco-abdominale par arme blanche, patient incarcéré, accidents de la voie publique avec cinétique élevé, événements avec multiples victimes potentielles…). L’opérateur du CTA 18/112 déclenche un moyen de prompt-secours et informe en temps réel la coordination médicale qui décide alors d’envoyer ou non, au départ des secours, un moyen médicalisé (AR ou UMH selon la disponibilité des engins et le secteur géographique), et modifie alors en conséquence le code couleur initialement affecté à l’opération

7
Q

Qu’est ce qu’une procédure verte?

A

C’est une procédure HMB particulière. L’appel, qui ne contient aucune détresse immédiatement décelable
par l’opérateur du CTA 18/112, mais nécessite néanmoins une évaluation médicale, est basculé au CRRA
15 du SAMU territorialement compétent sans envoi préalable de moyen Brigade. Rejoignant alors le flux
des appels arrivant au numéro « 15 », il est ensuite pris en charge par la régulation du SAMU pour décision
médicale. L’interconnexion doit comporter a minima la certitude, pour l’opérateur 18/112, du décroché du
Permanencier Auxiliaire de Régulation Médicale (PARM). Dans le cas d’une attente trop importante et/ou
d’une activité soutenue au centre opérationnel de la BSPP, ou d’une posture dégradée, une procédure
permet à l’opérateur du CO de ne pas rester en ligne en transférant immédiatement l’appel au SAMU
concerné sans temps d’attente. L’opérateur indique au requérant la nécessité de composer le 15 si l’appel
venait à être interrompu. Avant d’adopter cette posture, la coordination médicale informe les quatre SAMU
partenaires.
-

8
Q

Que fait le stationnaire du PVO lors de la suppression d’un ODE par le CO, CSO?

A

Le stationnaire du PVO doit alors : 

  - mettre son ou ses moyens dans un état de mise à jour disponible  
  - avertir le personnel de l’annulation du départ par le système des sonneries de feux ou tout autre moyen    - clôturer l’opération en saisissant un CRI adapté du type « fausse alerte-erreur » (cf. code CRI existant
9
Q

Que fait un chef d’agrès quand une opération est traitée par un autre engin d’un autre CS ?

A

S’il s’agit du même numéro d’intervention : le chef d’agrès du moyen qui traite l’opération (sélectionné à partir de la fonction RENFORT) rédige le rapport principal. Le chef d’agrès dont le moyen est arrêté rédige un rapport secondaire en saisissant « 0 » comme code d’utilisation.
Si Les numéros d’intervention sont différents : le chef d’agrès dont le moyen est arrêté demande à faire rapprocher les interventions par le CSO, puis réalise un rapport secondaire en saisissant « 0 » comme code utilisation.

10
Q

Que fait un chef d’agrès quand une opération est traitée sans moyen ?

A

Le chef de détachement valide le CRI « 004 – annulation de départ des secours » et rédige le rapport principal. Les moyens arrêtés appartenant au même PVO sont inclus dans le rapport principal du chef de détachement qui saisit « 0 » en code utilisation pour ses moyens.
Pour les engins arrêtés appartenant à un autre CS, le chef d’agrès responsable de la rédaction du rapport secondaire par PVO rédige un rapport secondaire en codant également « 0 » pour l’utilisation de ces moyens.

11
Q

Que fait le stationnaire du PVO concerné lorsqu’il reçoit une demande confirmation d’appel et d’adresse?

A

Le stationnaire du PVO concerné doit : 

 - composer le numéro de contre-appel qui figure sur l’ordre de départ, pour tenter de confirmer les renseignements auprès du requérant lui-même  
 - au besoin, contacter l’opérateur 18/112 qui a reçu la demande de secours (son numéro d’opérateur figure sur le message télé-imprimé de l’ordre de départ) pour s’assurer de la véracité des informations et qu’il ne dispose pas de renseignements complémentaires qui n’apparaîtraient pas sur l’ordre de départ. Lorsqu'une procédure de détection de l'arrêt cardiaque est engagée, impliquant que le requérant et l'opérateur du CTA restent en ligne, l'opérateur du PVO contactera le chef de salle ou le sous-officier de garde CO en cas d'impossibilité de joindre l'opérateur indiqué sur le message télé-imprimé, afin d'obtenir les informations nécessaires pour le chef d’d'agrès  
 - rendre compte par radio au chef d’agrès du résultat de ses investigations
12
Q

Dans quel cas le stationnaire clôture l’intervention dans le fil de l’eau?

A

Elle peut se réaliser dans les cas suivants : 

- lorsque le message « intervention terminée » a été transmis par le COS.  
 - au retour du dernier détachement constitué (dernier engin ou dernière équipe de surveillance rentrée au CS). 
 - lorsque le détachement est dirigé sur une autre opération.
13
Q

Que permet la clôture de l’intervention par le stationnaire?

A

La clôture de l’intervention permet de : 

  - visualiser un CRI provisoire ou une intervention terminée  
 - mettre à jour la Visualisation de la Couverture Opérationnelle (VCO)  
  - répondre aux questions opérationnelles  
  - assurer en temps réel la mise à jour des indicateurs opérationnels
14
Q

Définition du délestage ?

A

Le délestage est une décentralisation de la mise en œuvre de détachements pour faire face à un afflux massif des demandes de secours en rapport à un événement particulier (sociétal, météorologique, technologique…).

15
Q

Où et comment se gère le délestage ?

A

Le délestage se gère principalement au niveau des PVO sous la responsabilité du PVO compagnie qui détermine les moyens du plan à allouer à chaque PVO de sa responsabilité. Chaque PVO concerné organise l’engagement de ses moyens par liste d’interventions en respectant les principes suivants : reconnaissance ou intervention immédiate puis renforcement en cas de nécessité. L’édition d’une liste d’interventions une fois rattachée à un moyen du plan vaut ordre de départ

16
Q

Définition de la dégradation ?

A

La dégradation est une minoration adaptée de certains détachements pour des motifs d’alerte ciblés. Elle permet de garantir une couverture opérationnelle minimale lors de phénomènes contingents.

17
Q

Que doit faire un chef d’agrès lorsqu’ ‘il se présente spontanément sur intervention en se rendant sur opération ?

A

Le chef d’agrès d’un moyen se dirigeant sur opération, indisponible de facto, et se présentant spontanément sur une intervention, doit demander par phonie à la station directrice secondaire (CSO TC) « faites partir les secours, tel motif, telle adresse ».
Il doit se rendre ensuite obligatoirement sur son intervention initiale en laissant si nécessaire un personnel sur place, sauf ordre contraire du CSO modifiant ou interrompant sa mission.
Un opérateur du CSO collationne le motif d’alerte et le lieu de l’intervention puis crée l’intervention au moyen de l’application 18-112 afin d’engager les secours.

18
Q

Que doit faire un chef d’agré lorsqu’ ‘il se présente spontanément sur intervention de retour d’opération ?

A

Le chef d’agrès d’un moyen disponible de retour d’intervention (ou de toute autre activité) et se présentant spontanément sur une intervention, doit transmettre le message de renseignement par phonie à la station directrice secondaire (CSO TC) « présentation spontanée, tel motif, telle adresse » et employer l’état de mise à jour « présentation spontanée » (STATUS) afin de garantir la non sélection de son engin dans une SAR sur ADAGIO.
Il reste sur place et traite l’intervention, renforcé par le CSO le cas échéant, à la demande ou en fonction du motif d’alerte (masque renfort).
Le PVO contrôle ou réalise la mise à jour de l’engin (état de mise à jour : « présentation spontanée »).

19
Q

Que doit faire partir l’operateur s’il reçoit un appel d’un handicapé de la voix ou d’un sourd et malentendant et que l’enregistrement ne précise pas le motif de la demande ?

A

Il sonne le DN

20
Q

Quelles sont les types de réquisition qui existe ? Donnez un exemple ?

A

Réquisition par l’autorité administrative : Maire, préfet

Réquisition par l’autorité judiciaire : magistrat, officier de police judiciaire

21
Q

Quels sont les documents du service d’incendie et de secours ?

A
Liste de service
Cahier de départ des secours
Listing voie et ETARE du secteur
Fiche de départ des secours
Cahier et main courante opérationnel
Carnet de message et de renseignement
Dossier et fiches ER plan spéciaux
Autre document devant se trouver a bord des en engins
22
Q

Que veulent dire ADAGIO, ANTARES, STRADA et SIG ?

A

● Application de diffusion d’alerte et de gestion informatisée des opérations.
● Adaptation nationale des transmissions aux risques et aux secours.
● Système de transmission de données alphanumériques.
● Système d’information géographique.

23
Q

Compléter : “Dès lors qu’un renfort est engagé sur une intervention, la présence……………………………………………… ……………………………… est requise.”

A

VE2I, DEP et module commandement.

24
Q

Pour quel cas est prévu le renfort incendie ?

A

pour les incendies nécessitant la mise en œuvre d’un dispositif hydraulique important

25
Q

Le renfort incendie est-il modulable ?

A

Oui / sans FACA (les FACA et le BEA sont défalqués) ou sans échelle (les MEA sont défalqués, sauf le BEA)

26
Q

Pour quel cas est prévu le renfort habitation ?

A

Prévu pour conduire simultanément les opérations de reconnaissances, de prise en charge des victimes et des personnes impliquées, ainsi que de l’extinction

27
Q

Le renfort habitation est-il modulable ? Si la réponse est oui, de quelle manière ?

A

Non.

28
Q

Par qui est demandé, à minima, le renfort commandement ?

A

l’officier supérieur de garde groupement

29
Q

A quoi est destiné le renfort secours ?

A

à la recherche, au sauvetage et à la prise en charge médicale des militaires du corps qui se trouveraient en difficulté à la suite d’un accident

30
Q

Quels sont les 5 groupes d’interventions technologiques spécifiques ?

A

● le Groupe Chaine de Décontamination (GCD)
● le Groupe AntiPollution Terrestre (GAPt)
● le Groupe AntiPollution Aquatique (GAPa)
● le Groupe Détection Identification Prélèvement (GDIP)● le Groupe Enceintes de Confinement (GEC)

31
Q

A quoi est destiné le GELD ?

A

l’exploration de longue durée sur feu, lorsque les investigations s’avèrent longues et/ou difficiles.

32
Q

A quoi est destiné le GRIMP ?

A

intervention en milieux périlleux, où les moyens traditionnels s’avèrent difficiles d’emploi ou dangereux par rapport à la hauteur, à la profondeur et aux risques divers liés aux cheminements.

33
Q

En quoi consiste la mise en oeuvre du GEPE ?

A

établir par l’extérieur un établissement vertical de remplacement permettant de pallier les défaillances ou les dégradations susceptibles d’être rencontrées sur une colonne sèche ou humide.

34
Q

Complèter : “Le groupe violences urbaines est un détachement ………………….. (sélection …………………….) engagé systématiquement dès ………………………………………………… pour………………………………………., puis pour traiter les interventions en sécurité, en mode……………………..et ………………………… dans un ……………………….. particulier.”

A

Le groupe violences urbaines est un détachement non paramétré (sélection manuelle) engagé systématiquement dès le déclenchement du plan violences urbaines pour monter en garde, puis pour traiter les interventions en sécurité, en mode délesté et dégradé dans un quadrilatère particulier.

35
Q

Dans quel cadre le module extraction peut-il être demandé et dans quel but ?

A

dans le cadre d’un plan violences urbaines pour extraire des victimes en urgence

36
Q

De quoi est chargé le GRCP ?

A

D’organiser une zone de remise en condition du personnel sur les interventions de longue durée nécessitant des relèves de personnel lors de la phase d’attaque.

37
Q

A quoi est destiné le GRSD ?

A

à appuyer l’action du COS dans le cas d’un effondrement ou d’un risque d’effondrement

38
Q

Pour quoi est conçu le groupe mousse-ventilation ?

A

pour la réalisation d’une manoeuvre ventilation et/ou mousse, élaborée en particulier lors des feux de parc de stationnement couvert

39
Q

Quels sont les différents types d’ordres de départ sans détachement ?

A

● Intervention délestée (DLT)
● Intervention non urgente (INU)
● Départ régularisé (mode retard)
● Intervention hors mission Brigade (HMB)

40
Q

Quel élément permet la clôture d’une opération dans ADAGIO ?

A

La saisie d’un CRI par le stationnaire du PVO TC permet la clôture de l’opération dans ADAGIO.

41
Q

A quoi contribue le rapport de sortie de secours ?

A

● la réalisation du relevé opérationnel du personnel présent sur opération
● la transmission d’éléments d’information
● la transmission de données vers l’Infocentre Brigade (analyse statistique).

42
Q

Quand sont utilisées les fiches de départ des secours ?

A

lorsque les systèmes numérisés de traitement de l’alerte sont indisponibles

43
Q

Que doit faire figurer le stationnaire sur les fiches de départ des secours ?

A

l’heure du 1er appel et l’indication du motif de l’appel de secours, l’adresse de l’intervention et les indications complémentaires reçues pouvant être utiles au chef de détachement.

44
Q

“Complément indispensable du suivi du déroulement opérationnel de la journée, ce document est rédigé sur des cahiers de messages téléphonés cotés, paraphés et numérotés annuellement dans une série unique”. De quel document s’agit-il ?

A

MCO

45
Q

Quelles informations doivent figurer sur la main courante opérationnelle ?

A

● la date complète, inscrite à chaque changement de journée ;
● les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct) ;
● les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels ;
● les contacts avec les services publics sur demande des chefs da’grès ;
● les prises de service successives de l’OGC, de chef de garde, de sergent de jour et de stationnaires, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement ;
● les changements de garde non programmées ;
● les modes de fonctionnements dégradés et les défaillances des systèmes ;
● les contacts avec les stations directrices associées.

46
Q

Par qui doit-être visée la main courante opérationnelle avant qu’ils ne quittent leur garde ?

A

Stationnaire, sergent de jour, chef de garde

47
Q

Dans quels cas la retranscription d’un message est-elle nécessaire ?

A

● il s’agit d’un feu ou d’une explosion ;
● l’opération nécessite des messages de renseignements successifs
● la configuration des lieux impose la retransmission par une tierce personne ;
● une relève entre commandants des opérations de secours est prévisible.

48
Q

Que peut-on noter au verso du carnet de messages et de renseignements ?

A

tous les éléments nécessaires à la rédaction du rapport, selon les indications du chef d’agrès.

49
Q

Qu’est-ce que le plan triptyque ?

A

Le plan triptyque est un document destiné à aider les premiers intervenants dans un ETARE à en appréhender ses difficultés.

50
Q

Pour quel type de batiment sont élaborés les plans triptyques ?

A

Elaboré pour tout ÉTARÉ 3, il est cependant soumis à l’approbation d’une commission pour les autres niveaux.

51
Q

Où retrouve-t-on les plans triptyques ?

A
● EP 1 du CSTC
● EP 2 ou VL cdg du CSTC
● PVO du CSTC
● EP 1 des CS 1,2 et 3
● EP 2 ou VL cdg des CS 1,2 et 3
52
Q

Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord des engins en service dans les CS ?

A

Guide des plans de Paris et de sa banlieue, datant de moins det rois ans ;bons ST 30 bis de mouvements de matériels ;formulaires de prise en compte provisoire de matériels.

53
Q

Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord de tous les engins de première intervention ?

A

BSP 106 (catalogue des moyens et véhicules spéciaux) ;fiches bilans ;décharges de responsabilité ou refus de transport (imprimés BOPE 7) ;imprimés BOPE 12 de fin d’intervention sur le réseau ferré ;imprimés BOPE 13 informant de l’intervention des sapeurs-pompiers.

54
Q

Quels sont les documents que l’on doit trouver à bord des engins-pompe ?

A

plans parcellaires des secteurs limitrophes,répertoire des indisponibilités d’hydrants et de barrages des rues

55
Q

Qui doit vérifier la présence et l’état des documents que l’on doit trouver à bord des engins-pompe ?

A

Le chef d’agrès concernés

56
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 1 ?

A

Cahiers de départ des secours PVO.

57
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 2 ?

A

Cahiers de départ des secours CSO.

58
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 3 ?

A

Fiches: chef de salle CO, coordination, GIS.

59
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 4 ?

A

Fiche de départ des secours pour les PVO.

60
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 5 ?

A

Main courante.

61
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 6 ?

A

Cahier de messages téléphonés.

62
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 7 ?

A

Décharge de responsabilité - Refus de transport.

63
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 8 ?

A

Carnet de messages et renseignements.

64
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 10 ?

A

Rapport ADAGIO papier (partie en-tête, texte et engins).

65
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 11 ?

A

Rapport ADAGIO (partie victimes et feux).

66
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 12 ?

A

Imprimé de fin d’intervention (COS-RATP-SNCF) - Transfert de responsabilité soumis à la convention - Autorisation de rétablissement de la circulation.

67
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 13 ?

A

Papillon jaune : Intervention des SP (par conformité juridique et ADAGIO).

68
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 14 ?

A

Transmission du message au sein de la salle de gestion de crise.

69
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 15 ?

A

Proposition émanant des cellules du CO.

70
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 16 ?

A

Ordre(s) de la cellule commandement.

71
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 17 ?

A

Mise à jour des rues.

72
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 18 ?

A

Mise à jour des ETARE.

73
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 19 ?

A

Mise à jour des BIPI.

74
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 20 ?

A

Délestage en mode dégradé : fiche de reconnaissances.

75
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 21 ?

A

Délestage en mode dégradé : tableau de suivi des interventions.

76
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 22 ?

A

Délestage en mode dégradé : renseignements sur les interventions.

77
Q

Qu’est ce qu’un BOPE 23 ?

A

Information « Patient »

78
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de départ des secours ?

A

1 an

79
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de main courante opérationnelle ?

A

5 ans

80
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des messages téléphonés ?

A

1 an

81
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des indisponibilités des BI-PI ?

A

1 an

82
Q

En CS, quelle est la durée d’utilité administrative des fiches bilan ?

A

30 ans

83
Q

En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de départ des secours ?

A

5 ans

84
Q

En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier de main courante opérationnelle ?

A

5 ans

85
Q

En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des indisponibilités des BI-PI ?

A

1 an

86
Q

En PC de compagnie, quelle est la durée d’utilité administrative du cahier des messages téléphonés ?

A

1 an

87
Q

Que doit faire le stationnaire lors d’un appel par ligne direct?

A

Le stationnaire du PVO doit :

 - réceptionner l’appel  
 - prendre les renseignements auprès du requérant : typologie de l’intervention, motif d’alerte (grille de départ des secours), risques envisageables, adresse connue  
 - noter l’ensemble des informations (pour ne pas les perdre) sur une fiche de départ des secours  raccrocher (un appel par ligne directe sans indication est synonyme de départ des secours)  
 - ne surtout pas préciser au requérant que les secours sont partis, mais lui indiquer que la demande est en cours de traitement  
  - en cas d’urgence avérée, sonner le ou les moyens adaptés et les mettre dans un état transitoire (cf. présentation spontanée)  
  - contacter le CSO TC, afin de se mettre en liaison avec un opérateur et de transmettre les renseignements pour engager les secours  
  - suivre la procédure de la présentation spontanée en cas de sélection de moyens au niveau du PVO, en association avec une procédure normale de déclenchement des secours (MIB sans sélection préalable de moyens par le stationnaire du PVO)